Chambre du chevalier Fenrik

Il avait craquer et avait enlever mes pantalons! Maintenant, il n'en tenait plus qu'à moi pour enlever les siens. Je décidai de l'embrasser un peu plus longtemps avant de me redresser et d'enlever lentement les pantalons de celui-ci, pour ensuite les envoyer valser à l'autre bout de la pièce.

En peu de temps, nous nous retrouvâmes donc totalement nus, l'un contre l'autre. Était-ce moi ou bien la température augmentait dans al pièce? Sans dute être à proximité de Fen dans cet état y était pour quelque chose, mais comme c'était la première fois...je n'en étais pas totalement sûre.

Bref, à présent, mon corps brûlait de désir, mais j'en retenais une grande partie, une petite voix résonnant dans ma tête, sans doute la voix de ma consciente, me répétant que nous n'étions pas encore mariés, que nous devrions attendre, etc...alors que ce n'était pas vraiment ce que je voulais.

*Oh bon sang..qu'est-ce que je fais maintenant?*, me demandais-je silencieusement. Le débat entre mon corps et mon esprit était dur et, en vérité, mon esprit perdait de plus en plus de terrain. Une seule pensée était entrain de prendre toute la place, une pensée qui s'imposait par-dessus tout les autres; j'avais envie de lui et si je ne trouvais pas un moyen d'entraver ce sentiment, je ne réussirais pas à me retenir encore bien longtemps.

*Mais qu'est-ce que ça pourrait bien faire que...après tout...les autres ne le sauraient...pas...?*, tentais-je de débattre, toujours collée contre Fen.

Les yeux fermés, je ne bougeais pas, toujours essayant de trouver la bonne réponse à ma question. M'écouter moi, ou bien écouter les traditions? Et puis, dans tout ça, il y avait aussi l'opinion de Fenrik qui comptait, bien que je me doutais qu'il ne devait pas savoir grand chose à toute la notion du mariage.

*Oh et puis...si il est prêt, je le suis moi, alors pourquoi attendre.*, me dis-je finalement. J'ouvris donc les yeux et regardai Fenrik avec mon regard doré. La lueur de désir y était ardente.

Il m'avait attirer contre lui, et maintenant, nous ne pouvions être plus proches l'un de l'autre. Nos baisers commencèrent doux, puis plus lanoureux, plus passionnés, plus ardents...bref, nous nous laissions allés quoi! Mes mains se promenaient sur son corps, le caressant plus à certains endroits qu'à d'autres, mais restant toujours en mouvements.

J'eus à peine conscience de la servante qui passa dans le couloir, s'arrêtant d'abord devant ma chambre, y toquant deux coups puis, voyant que personne n'y répondait, décida de revenir un peu plus tard. Heureusement, elle ne pensa pas à venir vérifier dans la chambre de Fenrik, ce qui nous permis de continuer sur notre lancée, sans se faire déranger, ce qui aurait eu l'effet d'une douche froide.

(commence à plus savoir quoi écrire)

Fenrik attendit des pas dans le couloir mais n'y porta pas trop attention, on ne vint pas frapper à sa porte alors il s'en fiche un peu. Il avait comme l'impression, et oui elle n'était pas parti, que ce qu'il faisait n'était peut-être pas très bien mais les mains d'Anaelle qui glissaient sur sa peau finissaient par lui faire oublier cette impression.

(Dans ce cas, on va finir ça vite lol, parce que moi non plus je commence à plus trop savoir quoi écrire )

Collée à lui, j'écartai doucement les jambes, sans vraiment m'en rendre compte, étant donné que j'étais plus occupée à embrasser Fen qu'à porter attention à ce qui se passait d'autres. Pas un seul instant cependant le sentiment de culpabilité ne revint, contrairement au jeune homme. J'avais pris ma décision, maintenant, je ne pouvais plus revenir en arrière...ou du moins, je ne le voulais pas!

(Je vais mettre mon mot préféré dans ce genre de situation!)

Censuré

Il était maintenant trop tard pour revenir en arrière. Si il devait le regretter se serait plus tard. Fenrik embrassa Anaelle une dernière fois avant de se coucher à côté d'elle. Il la regarda avec un sourire, reprenant son souffle.

(Y'a pas vraiment encore plus d'inspi lol mais ça va venir)

(Ça devrait pas être long que ça va revenir en effet XD)

Je ne m'étais jamais sentie comme ça avant. C'était assez...spectaculaire comme sensation! Enfin, bref, maintenant nous étions couchés côte à côte, tout les deux reprenant notre souffle. Je sentais ma peau brûlante et j'avais vaguement sommeil, sans que cela ne soit un besoin impératif.

Je bougeai mon bras, qui se trouvait auparavant le long de mon corps, pour aller déposer ma main sur la joue du jeune homme qui faisait battre mon coeur. Nous n'étions pas mariés, nous étions de nouveau un couple que depuis quelques heures, mais nous nous connaissions depuis plusieurs années. Je le savais mon âme soeur, je ne regrettais donc pas ce que nous venions tout juste de faire. C'était...satisfaisant. Franchement, je ne pouvais trouver d'autres mots à ce que je ressentais en ce moment même.

Me tournant sur le côté pour pouvoir faire face au jeune homme, je le regardai dans les yeux pendant un moment, un vague sourire sur les lèvres, avant de fermer les yeux, me laissant aller à la douce fatigue qui m'envahissait.

Ils dormirent ainsi pendant une bonne heure avant que la même servante revienne dans le couloir, cette fois-ci totalement paniquée. En effet, cette fois-ci, elle avait ouvert la porte de ma chambre et s'était aperçue que ni moi ni Elisa n'étions là. Hors, il y avait déja eu signalisation de la disparition d'autres écuyers, et avait été confié à elle l'ordre de venir me prévenir, où que je sois.

Comme je n'étais pas dans ma chambre, la servante décida de frapper à la porte suivante, espèrant trouver un Chevalier qui pourrait l'aider à me retrouver. C'est ainsi qu'elle vint frapper à la porte de Fenrik, me tirant de mon sommeil.

Je ne remarquai pas immédiatement que Van était sorti du corps de Fenrik, mais dès que je m'en aperçu, j'eus le réflexe immédiat de ramener la couverture sur moi, même si il ne me regardait pas.

Faisant bien attention pour ne pas réveiller Fenrik, qui avait repris une apparence totalement humaine à laquelle j'avais du mal à m'y faire - après tout, je ne l'avais vu que deux fois ainsi et j'étais habitué à son physique plus...animal?

Je fis comme Van m'avait conseiller, je m'habillai rapidement puis allai ouvrir la porte.

"Oui?", demandais-je. La femme qui se tenait devant moi semblait totalement paniquée, sans doute une nouvelle puisque je ne l'avais croisé qu'une fois depuis tout ce temps.

"Les écuyers...", commença-t-elle. Elle semblait ne pas savoir comment m'annoncer quelque chose, ce qui m'inquièta immédiatement. Je sondai tout de suite ma chambre, n'y trouvant pas Elisa.

"Qu'est-ce qui se passe?", demandais-je, soudainement beaucoup plus sérieuse.

"Des écuyers ont disparuent.", furent les seuls mots de la longues explication que j'entendis.

*Elisa.*, pensai-je, commençant immédiatement mes recherches, sondant tout le château, sans y trouver la jeune fille. *Où est-elle, pourquoi n'est-elle pas là!?*

"Je m'occupe de la suite, merci de m'avoir prévenu.", dis-je à la servante, sans laisser voir le sentiment d'inquiètude et de panique qui montait en moi. Pourquoi était-elle partie? Pourquoi n'était-elle plus là? Étais-ce à cause de moi?

J'allai dans ma propre chambre, dans mon armoire, chercher mes armes, puis, après avoir hésiter un moment, je revins dans la chambre de Fenrik. Si, par hasard, il était éveillé, il se demanderait sans doute où j'étais. Et puis, sinon, je pouvais toujours confier mes plans à Van avant de partir.

Fenrik entendit la discussion et se réveilla, Van évidemment, avait repri sa place. Il s'assit sur le lit et regarda Anaelle qui revenait dans sa chambre avec ses armes, perplexe.

- Qu'est-ce qui se passe?

Il se doutait bien que ce devait être quelqeu chose de grave, c'Est pourquoi en écoutant la réponse, il s'habilla

"Elisa et d'autres écuyers ont apparement disparus. Je ne sais pas combien ils sont, mais nous devons nous dépêcher de les retrouver avant qu'il n'arrive un malheur.", expliquai-je en le regardant s'habiller. C'était un réveil plutôt brutal après un moment de rêve. Dommage qu'il avait fallu que cela se passe ainsi. Mais je m'étais rendu compte depuis longtemps que les bons moments ne durent pas et qu'il y a toujours un problème qui nous tombe sous le nez. Comme celui-ci. Il ne restait qu'à trouver la solution pour que tout redevienne bien...jusqu'au prochain problème.

Fen attrapa son épée et se posta devant la porte. Il espérait que ce ne sois rien de grave, que les écuyers allaient bien et qu'ils s'étaient simplement un peu éloigner du château pour s'amuser

- Par où commence-t-on?

"Ils ne sont nul part au château, j'ai déja sonder entièrement les environs. Alors nous devons commencer par l'extérieur. Le village peut-être, en espèrant qu'ils sont toujours dans ce royaume.", dis-je d'un ton quelque peu découragé. Elisa s'était sans doute enfuie à cause de moi, sans doute parce qu'elle n'avait pas fait le bon choix durant la bataille et que ... maintenant ... oh bon sang, je ne serais jamais un bon maître!

Pendant que je donnais les dernière explications, j'avais pris une lanière de cuir qui traînait quelque part dans une poche de mon habit, puis, pendant que nous nous dirigions vers les écuries, j'avais attaché mes cheveux en une longue tresse dorée. Une fois au village, je sonderais les environs et j'essayerai d'étendre mon champs de rechercher plus loin afin de pouvoir les retrouver.

- Bien, dépêchons nous avant qu'ils ne partent plus loin.

Fenrik quitta sa chambre. Il ne restait qu'à espérer que les écuyers allaient bien et qu'ils allaient revenir sans qu'il n'y ait de problèmes, ce qui était peut-être trop beau.