Un chevalier noir à Émeraude.....

Seliana avait suivit tout les combats surtout celui de Terebnor et Thomas... Elle avait peur pour son amour... Pourtant elle ne pouvait rien faire pour l'aider... Quand Thomas posa la lame de son épée sur la gorge de Terebnor Seliana ouvrit grand les yeux mais fut surprise que le chevaliers d'emeraude ne le tue pas. Elle regarda Terebnor dans les yeux le priant d'abandonné...

-Terebnor....nous ferions mieux de laissé tomber...

Elle le fixa dans les yeux ne pouvant rien daire d'autre.

Bien que peu consciente dans mon cocon doré, je vis tout ce qui se passait autour de moi, enfin, j'en avais conscience. Je ressentis tout d'abord l'approche d'un chevalier d'émeraude, que je reconnus très rapidement car mon coeur se mit à battre comme il ne le faisait que pour une personne: Klen. Je l'entendis alors prononcer mon nom...Intérieurement, un sourire étira mes lèvres, sourire que je perdit rapidement en sentant mon frère en danger. Malheureusement, je ne put savoir ce qu'il avait. Prise de panique, je me débatis intérieurement pour réintégré mon corps, chose que je fis après bien des minutes. Mais j'étais faible, très faible.

J'ouvris péniblement les yeux et vit devant moi Klen. Un faible sourire étira mes lèvres, puis celles-ci remuèrent pour formé

"Thomas..."

Et je retombai dans l'inconscience, vidé de toute énergie. Mon corps glissa le long de l'arbre, je me retrouvai étendue sur le sol, endormie, du moins d'apparence. Pendant un moment, je retrouvai la paix intérieur. Plus rien n'avait d'importance maintenant. Tout ce qui importait c'était que je dorme. J'étais si épuisée, si lasse...Toutefois, Thomas me hantait, son état me hantait. J'étais inquiète. J'aurais tellement aimé pourvoir faire quelque chose pour lui...Et ensuite...Oui, ensuite j'aurais rejoint Klen et, sans un mot, je l'aurais enlacé. Je voyais tout cela dans ma tête et c'était si réconfortant que je ne pouvais m'en débarassé, de cette idée si délicieuse.
Bref, lentement, je recouvrai mes forces, d'ici une heure, je serai en mesure de me lever et de retourner auprès des deux hommes de ma vie.

Katara avait entendu le message de Katoux qu'elle devait s'occuper de Thomas. Elle s'approcha donc et vit qu'Elicia le soignait...par terre.
Mais elle n'avait pas l'impression que cela servait à grand chose...

Elicia...veut tu bien me laisser faire? demanda t elle sur un ton doux.

D'abord il fallait l'emmener dans sa chambre, au chaud, et le faire boire. Ensuite il lui faudrait quelques plates vu l'état des plaies qui ne pouvaient pas être soignées simplement par magie. ET puis si tout allait bien jusqu'à là, il suffirait de fermer les plaie avec son puissant pouvoir de guérison.

Elle prit le Sire Thomas dans ses bras après l'avoir fait flotter et l'emmena dans sa chambre.

Après avoir laisser Thomas partir avec la jeune magicienne, Megara avait eu le coeur brisé et elle priait pour que les dieux aient pitié et qu'il puisse se remettre de cette blessure. Puis, après quelques minutes, celle-ci se releva le regard bas recherchant son apprenti du regard, elle réalisa qu'il n'était point là. Lui envoyant un message disant de rentrer au plus vite, celle-ci se dirigea vers la chambre de son bin aimé.

(court je sais, mais pas le temps)

Mon corps gisait toujours là, couvert de sueur plus que de sang, dans les bras de Klen. J'avais sombré dans un profond «coma» pendant un moment, je ne fus donc pas au courant de l'état de mon frère, ni de son transfert d'ailleurs. Je restai immobile pendant de longues minutes puis je fini par revenir à moi. Je me sentais déjà plus forte qu'auparavant, lorsque j'avais sombré. Lentement, avec douceur, j'ouvrit mes yeux couleur charbon et aussitôt mon regard vague se posa sur l'homme qui me tenait dans ses bras. Au début, je vit tout embrouillé, puis, peu à peu, à force de cligner des yeux, je retrouvai ma vue normal. Pourtant, je restai là, dans les bras du chevalier dont j'étais amoureuse, à attendre...

Puisque, toujours lentement, je me redressai, prenant dans mes mains blanches ma tête qui était sur le point d'exploser. Je venais de me relever trop rapidement. Bref. La douleur passa, mes idées se replacèrent rapidement. Je levai donc mon regard honteux sur Klen, le visage blême, les cheveux emmêlés. Un petit moment se passa avant que je puisse parler:

"Klen..."

Ce fut tout ce que je puis dire, le seule mot qui s'échappa de ma gorge sèche. Je me laissai allez contre l'arbre un moment, passa mes mains dans mon visage pour m'éveiller davantage puis je regardai de nouveau Klen. Pour être franche, j'étais persuadée de rêver. Je croyais être de retour sur Irianeth, là où je dormais et je rêvais de ce moment. Mais, tout au fond de moi, je savais que j'étais réellement sur Enkidiev, Klen devant moi et Thomas....Mon regard se fit soudain paniqué et je jetai des regards autour de moi dans l'intention de retrouver mon frère blessé...Mais je ne le vit nul part. Je sondai donc les alentours pour finalement le repéré dans sa chambre en compagnie de deux femmes, dont l'une d'elles était megara.
Je poussai un profond soupire puis reporta mon regard sur l'amour de ma vie. Je lui offrit un tendre sourire, puis je posai doucement, avec amour, mes lèvres sur les siennes.

Je mit finalement fin à ce baiser, ne sachant pas si lui aurait été d'accord avec ceci...Je l'avais tout de même abandonné...Alors, doucement, je me relevai sur mes jambes puis m'étirai longuement. Je tendis ensuite ma douce main au jeune guerrier, lui offrant de nouveau un sourire tendre.

"Je suis sincèrement navré, Klen. Tu ne peux savoir à quel point tu m'as manquer."

Murmurais-je de ma voix légèrement rauque. La scène, vu de l'Extérieur, devant être bien amusant et quelque peu étrange. Après tout, moi, guerrière ténébreuse, me tenait là, dans la cour d'Émeraude, tendant la main à ce qui avait pendant un petit moment mon ennemi....et avant tout mon amour, ma vie...J'attendai une réponse de sa part, me préparant mentalement à me faire repousser...Chose qui serait tout à fait normal d'ailleurs puisque j'étais désormais, au yeux des autres, de tout les chevaliers d'émeraude, une traitesse. Du moins, c'était mon avis et, jusqu'à preuve du contraire, je le penserai toujours.

[i] Tout était fini... à présent... Oui, tout... Ce combat était gagné d'avance, nous le savions tous... Nous nous étions placés en rang, face à nos ennemis. Le tout allait éclater, déjà que les vives étincelles compétitives en provenance du combat de Thomas contre Terebnor animaient chaque personne dans cette salle, bonne ou mauvaise... Les fers allaient se croiser, les ennemis choisissaient leur opposants, et nous leur répondions d'un regard rempli de défi, pointant le fer dans leur direction. Nous étions prêts : nous engageâmes tous le combat. Fiers, la tête haute, arquant nos corps vers l'arrière pour éviter les coups d'armes, frappant sèchement vers l'avant de notre épée, par des mouvements vifs en arcs de cercle qui fouettaient le vent, manquant l'ennemi de justesse : le tout se corsait, brûlait vivement, une sensation sûre et agréable s'emparaient de nous. Nous allions gagner...

Oui... Nous allions gagner, car nous avions les forces divines de notre côté, des êtres avec lesquels nul ne pouvait rivaliser. Et ces êtres nous secondèrent, descendant de l'au-delà pour nous porter secours, du moins, pour raccourcir ce combat qui était déjà gagné : et en un geste, Alicia et Elicia, deux magestueuses immortelles belles comme les clairs et purs ruisseaux du royaume de Perle, sensuelles comme les rouges pierres précieuses de Rubis, justes et bonnes commes les défenseurs d'Emeraude.. En un mouvement délicat du bras, dans un coup de vent rafraîchissant, les ennemis se dématérialisèrent devant nous, tels de pauvres âmes à jamais déchues. La menace avait disparue.

Les Chevaliers lâchèrent leur armes, qui bruyamment tombèrent sur le sol : tous épuisés, fatigués, ils s'effondrèrent : certains étaient même blessés, saignant de leur plaies, de leur coupures, ce liquide chaud et écarlate leur assurant la vie coulant le long de leur peau, se mêlant à la sueur qui prouvaient leurs efforts et leur détermination. Moi aussi, je m'effondrai. Je saignais aussi. Je souriais. Je partageais l'émotion avec mes confrères, le confort, la parfaite sérénité s'établissant à nouveau dans le Château d'émeraude.

Je levai le regard sur Lanya, la fixant des yeux, et seul mon air pouvait tout expliquer, tel une image expliquait mille mots. Mon regard dériva sur Klen, qui serrait à présent Eimy dans ses bras. De douces retrouvailles pour la jeune fille, qui colla désespérément ses lèvres sur celles du beau jeune homme, échangeant un passionné baiser avec lui. Je pouvais ressentir son amour : il était si grand. Si beau.

L'amour, c'était la plus belle chose pour moi. C'est le plus beau sentiment. La flamme renaît en moi quand je pense à l'amour, j'ai des papillons, quand je pense à l'amour. Quand je pense à lui. A présent, plus rien de m'arrêtait. J'avais moi aussi, un point à prouver, un trahi avec qui je devais refonder les liens de confiance. Je souriais, mon coeur battait la chamade. Il était temps. Plus rien n'allait m'arrêter, à présent. Je me levai sur mes deux pieds, saluant brèvement mes confrères. Je voulais TOUS les serrer, les embrasser, pleurer avec eux. Tous. Je les aimais tellement, ils voulaient tout dire pour moi. Je n'aurais pas pu vivre sans eux, je les aime tellement. Mais mon coeur désirait avant tout se retrouver ailleurs... Je DEVAIS... Je fuis alors le combat, le champs de guerre... Oui, je m'en éloignai, sans regarder derrière moi, je partis : Je voulais tous les serrer... Je les adorais... Mais je ne regardis pas derrière... Je partis, en espérant qu'ils comprennent...Pourquoi...Qui...

(Katara, tu n'es pas supposée me connaître. Sur Enkidiev, seule Alicia sait qui je suis vraiment.)

Elicia regarda l'apprenti magicienne s'approcher d'elle. Elle lui demanda de la laisser faire. Elicia se leva donc et laissa Katara emmener le Chevalier dans sa chambre. Elle ne semblait pas se poser des questions sur son identité. Tant mieux pour Elicia! Avant d'être assaillie de questions, Elicia se dirigea vers la sortie en jetant un coup d'oeil à Eimy. Elle s'en sortira...

Elicia voulut retourner à la chappelle, ou elle avait laissé la déesse, une personne à qui elle devait le respect. L'Immortelle repensa à la façon dont elle avait quitté le lieu de prières. Elle se donna un coup dans le front avec la paume de sa main comme si elle essayait de réaliser qu'elle avait manqué beaucoup de respect à la déesse. Elle espéra qu'elle n'allait pas la chatier. L'Immortelle se soulagea un peu en se disant que la déesse ne pouvait pas la livrer à Parandar car il connaîtrait le secret de la déesse et que la déesse ne pourrait pas avoir son aide dans sa mission.

(Désolée, court poste et poste minable. Je ne voulais pas laisser un hors jeu sans écrire un peu d'histoire.)

Je regardai un moment mon tendre amour alors qu'il preait ma main pour se relever, sans toutefois m'imposer tout son poids, puis j'écoutai ses paroles...chose qui assombri mon visage. Je détournai un moment les yeux, cherchant a savoir ce qui c'était passé. Mais c'était flou dans ma tête, je ne parvenais pas a me rappeler. Après, il devait bien y avoir un an que cela c'était produit, et j'étais convaincue que l'empeeur avait tenter de m'Effacer ¸a de la mémoire. Bref, après un moment, je le regardai de nouveau et haussai les épaules. La suite de ses paroles, pourtant, me firent un peu de bien.

''Je ne voulais pas...JE...j'ignore ce qui m'est arrivé...Ça c'est passé si vite...''

Je me tus, incapable de continuer. Un sourire étira mes lèvres et j'inclinai doucement la tête de côté. Mes longs cheveux noirs cascadèrent dans mon dos, se ramenant devant mon épaule, maisje n'y porta aucune attention. Maintenant que je savais que Klen ne m'en voulait pas, qu'il m'Acceptait toujours, je devais aller voir mon frère. Je lui prit donc doucement la main, lui sourit tendrement, puis reprit:

''Allons voir comment se porte mon sauveur...''

Sans vraiment attendre de réponse, je me hissai sur la pointe des pieds et embrassai de nouveau l'elfe que j'aimais avant de l'entraîner avec moi dans le château. Bien que des images du château d'Irianeth traversait mon esprit, je réussi a me retrouver devant la chambre de mon frère, ou Megara et Thom étaient ainsi qu'une tierce personne que je ne connaissais pas.

(Suite, chambre de Thomas. Tu peux poster ou tu veux^^)