La cours du château

Elle avait peine à y croire? Thomas était très content, mais à la fois sous le choc. Il se demandait bien comment il allait devenir père! Ou plutôt, comment serait-il dans le rôle de père? Lui qui était sévère avec lui-même comment allait-il réagir avec l'enfant?! Enfin. Pour le moment, Thom préférait plutôt vivre son bonheur, plutôt que ses craintes. Il embrassa encore quelques fois sa douce et tendre aimé.

Il était tellement heureux, qu'il en avait complètement oublié ses soucis. Rien ne pourrait le faire changer d'humeur en ce jour, absolument rien... Du moins, pour le moment! Mais plus il y pensait, plus Thomas croyait meilleur pour Megara, de ne pas trop s'agiter. Le chevalier fougueux deviendrait encore plus protecteur face à sa bien aimé. Toute chose qui risquerait de lui faire du mal lui serait formellement interdit! Thom ne voulait pas prendre la chance de perdre l'enfant et encore moins sa belle! D'accord, il exagérait sans doute, mais s'était la première fois qu'il vivait cela, alors il fallait lui laisser sa chance!

-Je devrais me rendre de ce pas au village. Les villageois iront plus vite avec mon aide. Toi, pendant ce temps, je te suggère de rester bien sage, peut-être pourrais-tu t'occuper de ton écuyer...

De plus, de son côté, Thomas allait la surveiller, question de sécurité! Il la serra encore un peu contre lui, déposant un doux baiser sur son front, puis :

-Je t'aime, lui murmura-t-il doucement.

Aussi vite... Megara se reconcentra alors pour ressentir la petite chose minuscule et infime qui vivait en elle. Oui, elle avait toujours pensé avoir des enfants même si Thomas et elle n'avaient eu le tempsvraiment d'en discuter. Mais si c'était la volonté des dieux, eh bien, elle allait s'occuper de cet enfant avec tout l'amour qu'une mère peut porter à son enfant même si leur vie n'était pas banale. Suivant tout de même les pensées de son tendre aimé, la jeune emme devina rapidement qu'il allait faire en sorte de l'éloigner évidamment des champs de bataille en question de sécurité et de tout ce qui pourrait alors s'avérer dangereux à celle-ci. Pour l'instant, elle ne suivrait pas trop ce conseil, car elle était tout de même chevalière etc'était son métierde défendre le continent malgré tout. Ce n'était pas parce qu'elle était enceinte qu'elle allait tout abandonner, enfin pour l,instant du moins.

-Ne t'inquiète pas pour moi, tout va bien aller Thom...

Lui murmura-t-elle. Il était si, comment dire, énervé et comblé voulant faire 6000 affaires en même temps pour l'arrivée de l'enfant même s'ils devraient se montrer bien patients car encore là il ne se montrerait le nez qu'à la fin de la saison des pluies. Enfin, en parlant e son écuyer, il fallait dire que cela faisait un moment qu'elle ne l'avait pas vue et que oui, eklle devrait peut-être poursuivre l'entrainement, mais commencer par le retrouver. Puis, son beau chevalier lui déposa un baiser sur sa tête tout en la serrant dans ses bras. Rien n'aurait pu troubler son bonheur.

Ne pas s'inquiété pour elle. C'était plus facile à dire qu'à faire. Mais bon. Thomas eut un léger haussement d'épaule. Il fallait lui pardonner son comportement, un peu... troublant, mais c'était une chose complètement nouvelle pour lui. Il avait un peu peur de mal s'y prendre. Valait mieux ne pas prendre de risque... Mais enfin.

-J'essaierai, dit-il, l'air presque gêné.

Il passa une main dans les beaux cheveux doré de son épouse, replaçant du même coup un mèche folle, derrière son oreille, puis la décolla de lui, sans pour autant perdre son sourire.

-Je vais y aller. Prend soin de toi durant mon absence... Je reviendrai peut-être tard, alors repose-toi, même si je ne suis pas là.

Il l'embrassa encore une fois, n'attendit pas d'autre réponse et la quitta, en route vers le village, où il allait rejoindre les villageois.

Megara comprenait bien ce qui poussait Thomas à agir ainsi. Un eu lorsqu'il avait été blessé gravement, la jeune femme s'était tant inquiéter et s'était sentie si couplable des événements. De le voir étendu semi-conscient sur un lit lui avait donné de mauvaises impessions, comme si elle avait crut pendant un instant qu'il était mort. C'était sa plus grande crainte à vrai dire. Le simple fait qu'ils soient très souvent séparés lors des missions et des attaques l'inquitait et pouvait la rendre quelque peu moins concentrée. Mais bon, ils étaient chevaliers et ils n'avaient le choix vraiment.

-Rejoins moi dans ta chambre alors.

Dit-elle à la fin de sn baiser. Il voulait lui cosntruire une maison en très peu de temps et elle savait bien que c'était ce qu'il allait se faire. La chevaliere le regarda alors se diriger la tête haute vers les champs. Le soleil qui se levait sur lui la fit sourire tandis qu'elle rebroussachemin vers le chateau posant une main sur son ventre où grandissait déja la vie.

Akeelah cherchait un endroit calme, où elle pourrait pleurer tranquille. Après la déception qu'elle venait d'avoir, il n' avait pas d'autre chose à faire pour le moment. Elle tenta de prendre de bonne inspiration, mais elle en était incapable trop appeuré.

-Pourquoi à moi... pourquoi?!!

Akeelah marchait très vite et la tête basse. Elle devait vite aller à sa chambre, où elle pourrait être seul et tranquille, mais pour le moment... Elle devait éviter des obstacles qu'elle ne voyait pas ; Megara, par exemple. Akeelah s'arrêta net, releva les yeux sur... Elle! Déglutit à nouveau, recula et tout en baguaillant :

-Dé-déso-solé, Me-Mega-gara... dit-elle.

Akee croisa les bras, rabaissa la tête, cachant ainsi ses yeux rouge et bouffis.

Comme la jeune femme commenceait à avoir mal au coeur soudainement. Comme l'image réconfortante des paumes guérisseuses de son époux lui manquait. Enfin, Megara continua à se rendre à sa chambre épuisée de sa journée déja terminée et assez mouvementé il fallai le dire. Ce fut à ce moment qu'elle manqua près de rentrer dans une autre chevalière, qui perdue dans ses pensées ne l'avait pas remarqué. Elle semblait si triste, c'était déconcertant, mais surtout la future maman povait le sentir de loin.

-Akeelah, est-ce que ça va...

Dit-elle en regardant son visage caché par ses cheveux. Son esprit lui étit totaleent refermé, ce qui la troubla quelques peu. Elle l'nquiétait et vu qu'elles étaient un peu à l'écart des autres, il lui serait bien de se confier à son avis comme elle le faisait avec Xénoxa en temps en temps.

Akeelah se dépêcha d'essuyer ses yeux, tentant ainsi de passer un peu plus innaperçu, même si s'était un peu... impossible maintenant. Elle ne voulait pas vraiment discuter de ce qui se passait avec elle et encore moins avec l'épouse de Thomas. Elle savait Megara très douce, mais elle ne voulait pas créer un conflits entre elles quand même. Elle s'efforça de sourire, puis :

-Oui, oui. Ça va. Ça va très bien! Qu'est-ce qui pourrait mal à aller, il fait beau, chaud... Je... C'est magnifique!

Akeelah du faire un énorme effort pour ne pas soupirer, de plus elle était une horrible menteuse. Chaque mensonge était facile à trouver chez elle, non pas seulement parce qu'elle baguaillait, mais parce qu'elle ne le disait jamais avec beaucoup d'entrain.

-Je vais y aller... moi. Dé-désolé en-encore, de t'a-t'avoir bouscu-culer...

Sur ce, Akeelah salua Megara, à la manière qu'un écuyer le faisait face à un chevalier. La jeune femme n'avait jamais vraiment perdu ses habitudes d'écuyer, mais bon, que faire avec cela?... Elle passa près de Megara et se dépêcha d'entrer dans le château.

[partit.]

Thomas s'était précipité vers le château, il ne voulait plus attendre, il voulait aller dormir ce soir dans la maison qui était fraîchement construite. Il voulait y aller avec Megara et même si les meubles n'étaient toujours pas faite, Thomas s'arrangerait pour faire un lit temporaire et confortable, surtout pour la futur maman.

Étonnement, il retrouva Megara dans la cours du château. Elle semblait un peu... malade. Il s'approcha d'elle tranquillement, ne voulant surtout pas la bousculer, puis lui offrit un sourire resplendissant.

-Quelque chose ne va pas? Tu te sens mal? demanda-t-il posant un bras autour de sa hanche.

Malgré qu'elle sembla mal, Thomas ne pouvait s'empêcher de paraître heureux. Il avait si hâte de lui montrer le beau travail de leurs amis.

Il fallait dire que Akeelah l'avait laissé étrange, mais encore là elle était trop loin pour la rattraper, surtout qu'elle commenceait à avoir un de ses mal de coeur, à en être étourdie. Se promenant lentement dans la cours, respirant et se calmant, Megara put ressentir et apercevoir Thomas qui arrivait tout joyeusement vers elle. La maison était-elle déja finie? Celle-ci n'avait eu le temps de faire une sieste et d'aller voir le nouveau jardin que tout déja était terminé. Il fallait dire qu'il y avait mis les bouchés doubles. Lorsque le chevalier lui demanda si tout allait bien, collée contre sa personne, la jeune femme ne put lui cacher bien longtemps ses malaises.

-J'ai quelques nausées... Mais c'est normal... je crois...

Thomas ne s'y connaissait pas beaucoup, encore, sur les grossesses, cependant, il savait, pour avoir vu plusieurs femme enceinte, que les nausées, particulièrement dans les premiers temps, étaient fréquente. Toutefois, le chevalier n'aimait pas savoir sa tendre aimée ainsi malade, même si tout était parfaitement normal. C'est donc pour cette raison, qu'il posa une main sur le ventre de Megara et puis un autre au niveau de son cœur, pour ainsi l'apaiser, en espérant que cela fonctionne.

Et délaissa le sujet un peu, sans pour autant l'oublier! Ils allaient très rapidement en rediscuter, mais autre chose préoccupait les pensées de Thomas. Non pas Akeelah, bien qu'il la sentait très malheureuse au château, mais plutôt la réponse de Megara.

-Accepterais-tu de venir passer une première nuit chez nous? demanda-t-il amoureusement.

Évidamment, Thomas voulut lui enlever son mal comme d'habitude et il posa alors ses mains sur son abdomen avant d'éclairer de ses paumes guérisseuses son malaise. En même temps, Megar se demandait bien à quoi était bien du ses maux finalement. Ayant fermer les yeux depuis le tout début de l'opération, souoirant de bien également, elle les réouvrit quelques instants plutard. Pas besoin de mots pour signifier qu'il n'y avait plus rien. Alors le chevalier put continuer avec un autre sujet, soit la raison de son retour ici aussi rapidement et de tous les efforts qu'il avait fait durant la journée: la maison! Il lui proposait alors de passer leur première nous ce soir en ces murs. Souriante elle fit un petit oui de la tête out en prenant ses mains dans les siennes, elle lui était de beaucoup reconnaissante.

Megara semblait déjà aller un peu mieux. Heureusement, car Thomas ne savait si finalement ils auraient été passé une nuit à leur maison. En fait, ce n'était pas encore un endroit très confortable, mais Thomas allait s'arranger pour la nuit et le petit matin soit parfait pour la futur maman.

Quand finalement il eut l'accord de sa tendre, Thomas eut un large sourire, serra sa main dans la sienne et l'entraîna vers les écuries. Le chemin n'était pas très long à pied, mais il préférait faire éviter des voyages à Megara. Une fois tous les deux sur le dos du cheval de Thomas, ils partirent en route vers le village, où ils allaient enfin être tranquille.

[Suite au terrain de Thomas & Megara.]