Les toits

Alexandre souria d'avantage en attendant les mots qui se fient entendre entre ses deux oreilles. de toute mannière, il n'y avait aucune raison de s'en vouloir. Il avait ses moments à lui, mais s'est temps si s'était plus que d'habitude, mais bon.

Alexandre embrassa les lèvres d'Érika avec envi, comme si il ne l'avait pas vu depuis déja plusieurs années. Puis soudain, il s'arrêta, fixant ses deux yeux dans les deux yeux mauve de son épouse.

- Je me suis ennuyer....J'essairai d'être plus proche de vous trois la prochaine fois.

Puis sur ce, il déposa un doux baiser sur ses deux lèvres mauves. Puis le baiser vint un peu plus fougeux, mais rien de plus.

Lorsqu'il cessa de l'embrasser, pour la regarda, pendant une fraction de seconde, Érika crut avoir dit quelque chose qu'elle n'aurait pas du dire. Mais elle fut rapidement réconforté par les paroles de son amoureux. Plus proche d'eux trois. Enfin, ils allaient pouvoir paraître comme une véritable famille! Tous rassemblé... Quoique bientôt les jumeaux allaient débuter leur enseignement en magie. Mais bon, ce n'était pas bien grave, au contraire. Elle souria donc, heureuse et fière. «Jamais je n'aurais pu trouver meilleur époux que lui», se dit-elle alors.

Érika reprit volontier les lèvres d'Alexandre qui l'embrassait maintenant avec un peu plus de fougue. S'il allait plus loin, Érika allait se jeté sur lui! Il y avait quand même un moment qu'ils n'avaient pas eu de moment pour eux seuls... Érika prit donc seule l'initiative, puis embrassa soudainement Alexandre plus ardement. Elle finit par s'allonger complètement sur le toit, entrainant tranquillement Alex avec elle.

Alexandre pouvait sentir l'envi soudaine d'Érika, se qui le fit sourire. Il était vrai que sa faisait un moment qu'il n'avait pas vraiment eu un VRAI moment seul. Le chevalier embrassa Érika comme jamais il ne l'avait embrasser bien comme si elle partait en guerre ou vice-versa. Puis Érika commenca à l'embrasser plus ardenment, se qui donna l'envi à Alexandre d'aller peut être plus loin. Bref, il n'était pas le seul à avoir pris cette initiave, parce que rapidement, Érika s'était déja allonger sur le dos invita Alexandre dessus. Le chevalier reposa ses lèvres envian rapidement sur les lèvres de celle-ci. Il prolongea fougeusement le baiser langoureusement. Puis doucement, avec sa main, il caressa les cuisses de celle-ci, remonta légèrement vers le chandail qu'il leva un peu pour poser ensuite sa main sur la peau chaude de son ventre mauve.

Érika était bien contente de voir qu'Alexandre la suivait. Quand il vint caresser sa cuisse, Érika frissonna, un doux frisson qui traversa tout son être. CE n'était peut-être pas la première fois qu'érika avait ce genre de réaction lorsqu'ALexandre la touchait, mais s'était tellement agréable à sentir, que jamais elle ne s'en lâssait. Toute la glissade qu'il fit jusqu'à sous son mince chandail lui donna cette sentation de bien-être qu'elle ressentait toujours. Alors que lui carressait son ventre, elle, elle en profita pour aller poser ses mains sur ses fesses, les montants doucement vers son dos, sous sa tunique... Éri alla ainsi donc caresser sa peau si douce et chaude... Sans toute fois, se débarrasser de ses lèvres délicieuses.

Alexandre continua d'embrasser les lèvres mauves de l'hybride qu'il avait épouser. Il sentit les mains de celle-ci se poser sur ses fesses. Se qui fit sourire le chevalier, puis les mains chaude se posa sur son dos, sous sa tunique. Elle pouvait sentir les différentes cicatrices sur son corps. Alexandre continua de caresser son ventre, pous doucement il descendit sur son pantalon, qu'il défit d'ailleur le bouton, puis le dézzipa légèrement. Sans pour autant se défaire de ses lèvres si délicieuse.

Érika savait qu'Alexandre avait vécu plusieurs épreuves, dont la guerre et tout autre chose concernant la douleur physique. Même si son dos était cicatrisé comme il l'était, aux yeux d'Érika, Alexandre d'ÉMeraude restait le plus beau des chevaliers qu'elle avait pu rencontrer. De plus, l'amour qu'elle ressentait pour celui-ci, n'aurait jamais pu être égalé.

Alors qu'il commençait à la défaire tranquillement de son pentalon, Érika appuya légèrement ses griffes sur la peau du chevalier. Elle sentait un désirs profond, elle avait envie de lui comme jamais. Même s'ils n'étaient qu'à ce stade... Elle se détacha un moment de ses lèvres si savoureuse, pour aller jusqu'èa son oreille. Éri l'embrassa doucement à cet endroit.

-Je t'aime, Alexandre d'Émeraude, lui murmura-t-elle.

Puis elle rabaissa tranquillement la tête, pour le regarder dans les yeux. Elle lui sourit, un sourire doux, amoureux et passionné. Tout en le fixant dans les yeux, elle fit glissé ses propre main jusqu'à l'avant, pour aller le caresser un tout petit peu l'intimité, pour l'exiter d'avantage, qu'il la désir encore plus. Son regard était maintenant un peu plus agançant, comme si elle faisait exprès pour le tenir comme ça... En fait, elle faisait exprès.

Dire, qu'il n'aurait jamais penser, vela presque 20 ans qu'elle laisserait se barbar qui est maintenant disparut, pour lui. Alexandre adorait Érika de tout son coeur, jamais il lui fera de mal, et jusqu'a temps que son physique lui fasse défaut a cause de l'age, il lacherait pas de la protéger.

Il pouvait sentir les griffes de celle-ci s'appuyer légèrement sur sont dos, Alexandre dorait quand elle faisait cela. Puis, elle avait lacher ses lèvres pour aller lui dire ces quelques mots dans son oreille, se qui le fit sourire ensuite.

- Tu m'aimeras jamais assez...Parce que moi je t'aimes encore plus..

Chuchota-t-il. Puis soudain, la main d'Érika se posa sur un endroit qu'il le fit lacher un doux gémissement. Elle faisait exiprès en plus, juste par son regard il pouvait le voir très bien que s'était pour provoquer les choses. Alexandre lui fit un sourire avant de poser doucement ses lèvres sur les siennes, puis il descendit ses lèvres sur son cou. Avec sa main, il défit encore le pantalon de celle-ci, le descendant le plus loin qu'il le pouvait, ne restant que les sous vêtements de l'hybride.

L'aimer encore plus?! Érika en doutait... Bref, ça restait encore à prouver! PArce qu'Érika, qui a repousser un homme pour qui elle éprouvait quelque chose, pour rejoindre Alexandre, il fallait qu'elle soit follement amoureuse de lui pour faire ça! Mais bon, elle trouvait quand même les paroles d'Alexandre très remantique, c'est pourquoi elle ne dit rien et qu'elle ne fit que sourire!

Quand elle sentit les lèvres de sont tendre dans son coup, elle penchant légèrement la tête pour lui laisser champ libre. Elle ferma les yeux tranquillement, adorant ce contact délicieux sur sa peau. Lorsqu'il eut retiré son pantalon, Érika s'attaqua au siens. Elle n'allait certainement pas être toute seule ainsi dénudé, c'est pourquoi, qu'avec délicatesse, quand même, elle le lui retira. Elle du, pour ce faire, le mettre dos contre le sol, ainsi se fut elle qui se retrouvait sur le dessus. Elle porta lentement ses mains aux hanches de son amant les faisant tranquillement remonter, afin de lui enlever son chandail qui cachait son torse musclé par les entrainements ardus. Alors, Érika se pencha sur lui, embrassant son torse sans se brusquer.

La douceur, s'est se quelle faisait à merveille. Rapidement, elle prena les dessus. Alexandre, lui, en profita pour promener ses deux mains sur les hanches de celle-ci, pour ensuite descendre sur ses fesses, mais rapidement, Érika avec monta son chandail pour l'enlever au grand complet. Ensuite, il sentit les lèvres chaudes de sa femme se poser sur son torse. Au contact, les yeux du chevaliers se ferma, puis en chuchotant...

-En plus.. Tu le sais, que j'aime quand tu fais sa comme sa....

Tout en continuant sa descente, elle souria. Érika savait très bien qu'il adorait lorsqu'elle faisait cela, sans ça, elle ne le ferrait probablement pas... Ou peut-être qu'elle le ferait quand même, qui sait?!! Lorsqu'elle arriva à son bas ventre, elle l'embrassa une autre fois, avant d'entreprendre de lui retirer son sous-vêtement, qu'elle déposa à côté. Puis, de la même manière qu'elle était descendu, elle remonta, collant tranquillement son corps semi-nue, contre le siens. Elle cessa alors de l'embrasser, puis ne fit que le regarder.

-Alexandre, que penses-tu de nos enfants? demanda-t-elle doucement, allant lui caressé les cheveux.

Alexandre se laissa aller par les baiser d'Érika. Puis elle amorca d'enlever son sous-vêtement. Puis lorsqu'elle remonta, Alexandre frémissa de plaisir, jusqu'a temps que le corps a demie-nu d'Érika soit au complet sur lui. Alexandre ouvra alors ses yeux, se qu'il découvra a son réveil, se fut les grand yeux violais de son épouse. Elle avait une question et cela paraissait dans son regard. Puis elle disa de se qu'Il pensait de nos enfant.

- Ils ont déja cinq ans, je l'ai est même pas vu grandir. Mais ils deviendront de brave chevalier d'Émeraude, et même que je suis très étonner de leurs calme. Sileas je le voit même chef !!!!

Alexandre souria légèrement avant de donner un petit baiser sur ses lèvres.

-Bon, je m'enporte un peu...

Puis il eu tout a coup le flash, du pourquoi elle posait cette question.

-Tu....Crois...Oh...

Alexandre aimait les enfants, et il voulait fonder une famille de rêve...S'était peut être l'idée d'Érika.

Érika remarquait aussi qu'ils grandissaient rapidement. Même si elle avait été le plus clair de son temps avec eux, elle avait l'impression également de ne pas les avoir vu grandir. Déjà bientôt des élèves et ils seront dans quelques années écuyer. Tout allait tellement vite. Elle était aussi d'accord avec le fait qu'ils deviendraient de brave chevalier. Sans c'était sans aucun doute vrai! Par contre, Érika fronça les sourcils, même si Sileas ferait un merveilleux chef, elle ne voulait surtout pas le voir s'enrouler la dedans. Seulemtn à voir Xénoxa, Érika comprenait que ça ne devait pas toujours être facile. Enfin. Éri accepta le petit baiser d'Alex avec plaisir pour ensuite le voir, qui commencait à comprend le but de sa question.

-Il y a un moment que je pense que l'on devrait quitter le château, pas l'ordre! Seulement le château... Si je me retrouve encore avec des jumeaux, bientôt il n'y aura plus de place ici pour accueillir nos garnements! Mais bon, pour le moment, on a pas à s'inquièté.

Alexandre n'avait même pas penser à sa. Une ferme en dehors du château. S'était pas bête comme idée, et les enfants seraient ainsi plus libre, du moin les prochains enfants. Alexandre trouvait l'idée très bonne, mais s'était normal. vu que s'était Érika qui pensait à tout dans ce couple. Il ria intérieurement avec cette pensée.

-S'es-tu, s'est vraiment pas bête comme idée, même que je suis emplement d'accord avec toi. On fait construire une belle maison pour notre futur grande famille, et ainsi, on va avoir beaucoup plus de confortabilité.

Alexandre redonna un petit baiser sur ses lèvres.

-Et puis, avec mon pouvoir de dématarialisation, sa sera facile pour nous d'aller aider nos frères et soeurs d'arme si ils sont en danger.

Puis Alexandre reposa rapidemetn ses lèvres sur les siennes pour cette fois-ci l'embrasser langoureusement.

-S'est pas.. que je suis exiter... mais....

Dit-il moqueusement.

Elle était bien contente que l'idée lui plaise. Parce que pour bien dire, Érika avait très hâte de se retrouver avec sa famille, en dehors du château à voir tout le monde courir ici et là. De plus, Alexandre avait raison sur un autre point, avec leur dont de matérialisation, il serait très facile de rejoindre les autres chevaliers au moment ou ils auraient besoin d'eux. Après tout, ils n'abandonnaient pas l'ordre comme elle l'avait dit plus tôt!

Au baiser langoureux d'Alex, Érika se souvint alors qu'ils étaient un peu... disons... comme ça là. Elle sourit, même qu'elle ria à ce qu'il venait de dire.

-Alors... Qu'attends-tu pour agrandir ta famille? fit-il avec un clin d'oeil, pour ensuite aller l'embrasser.

Alexandre fit un sourire quand elle lui disa qu,est ce qui attend pour agrandir la famille. Sur ce, elle avait poser ses lèvres sur les siennes, puis il l'embrassa avec un peu plus de fougue et langoureusement. Puis leurs jambres s'entre mêlèrent. Puis il firent l'amour dans le plaisir et toute l'amour qui guidait le vieux couple.

***

Alexandre était toujours par dessus Érika, les deux chevaliers étaient en sueur. Il l'embrass en douceur sur les lèvres avant de la fixer longuement dans les yeux.

-Belle endroit pour faire l'amour...

Dit-il avant de plonger son visage dans le cou de celle-ci pour rire.

Érika devait l'avouer, elle adorait ces moments là avec son époux. Ça pouvait semblé un peu obsédé, mais bon, elle, elle le prenait comme un échange amoureux, un peu plus intense ! Enfin. Elle le regarda, les yeux remplir d'amour, puis à son tour, elle se mit a rire à la remarque d'Alexandre sur l'endroit! FAut croire que l'on pouvait passé à l'act n'importe ou. Quelle chance par contre que personne n'est montré le bout de son nez.

Toujours en riant, elle repoussa le chevalier. Elle avait eue chaud, mais avec le petit vent, elle avait froid. Donc, Éri cherchait à se rhabiller.

-Tu devrais faire pareil, fit remarquer Érika en enfilant ses sous-vêtements, rapidement suivit du reste!

Elle regarda par la suite Alex, de haut en bas, puis avec un sourire amusé elle ajouta :

-Tu prends de l'âge... Mais tu restes toujours aussi beau.

Rapidement, Érika se décolla de celle-ci pour aller s'habiller. Alexandre, lui écouta les paroles qu'elle avait dire. Il esquiva un sourire plus ou moin heureux quand elle lui disait qu'il prenait un peu l'age. Bien sur s'était pas méchant, mais il n'aimait pas sa du tout vieillir.

Puis toute en s'habillant.

- Je payerais cher pour rajeunir de 10 ans...

Dit-il en remetta ses sous-vêtement et ses pantalons. Il metta ensuite son chandail et tout le reste. Il effleura ses cheveux avec ses mains.

-Tu vas passer par la toi aussi !!

Dit-il avec un ton provoquateur, mais tout en étant très moqueur.

Il payerait cher pour Rajeunir. Érika... Elle, elle n'avait pas besoin de penser à cela maintenant, lorsqu'elle atteindrait la soixantaine, O.K., mais pas avant. Et encore là, un jour ou l'autre une personne devait bien mourir, aussi douloureux que ça puisse être. Bref.

-Peut-être, mais...

Normalement, elle qui avait souvent une réplique à dire n'en trouva aucune. Elle avait beau chercher, mais rien ne lui venait en tête. Elle soupira puis :

-Tu m'agaceras à ton tour rendu là alors...

Elle sourit à nouveau, s'approcha de lui et alla lui voler un doux baiser.

-Mais sache que peu importe ton âge, je t'aime autant qu'au début de notre amour!

Sur ces doux mots, elle s'évapora. Elle avait passé une bien belle soirée en compagnie de ton amant, mais maintenant, elle devait se retrouver avec elle-même. Elle se sentait un peu bizarre et elle devait réfléchir sur ce qui pouvait la faire sentir ainsi.

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Après avoir quitter la tour de Kathoux, alors que ma rage s'estompait légèrement, j'avais laisser mes pieds me guider, m'assurant que personne ne me suivait. Mes pieds m'avaient amener sur les toit du château, là où je m'immobilisai un moment, laissant le vent caresser mon visage. J'avais peur...Non, en fait, j'étais littéralement terrifiée. Je ne savais plus quoi faire et là, une migraine atroce me tenaillait le cerveau et j'avais l'impression que ma tête allait exploser. En soupirant, j'allai m'asseoir sur le rebord du toit, les pieds pendant dans le vide. Autrefois, j'aurai été effrayé à l'idée d'être là, j'avais un peu...le vertige quoi. Mais maintenant, ça ne me faisait plus peur. J'avais changer, et c'était ça qui me faisait peur. J'étais davantage impulsive qu'auparavant, plus agressive et violente. Juste à voir ce que j'avais fait à Klen là-bas, dans la tour. J'avais tellement honte de moi, et j'étais si fier à la fois de ce que j'étais devenu. Mon tempérament aurait été très acceptable sur l'aute continent, car ils étaient tous comme ça, mais ici,il était peu probable qu'on me garde avec ce caractère là.

Soudain, je me mit à penser à Serena. J'étais plus pire qu'elle lorsque cette dernière était plus jeune, avant que je me fasse enlevé par les Tanieths. Elle semblait avoir changer...on avait, en quelque sorte, échanger de personnalité. Enfin, pas réellement, c'était un exemple. Mais bon, c'était l'impression que j'avais. Mais, ça n'allait pas dans ma tête ces temps-ci. Rien n'allait en fait. Rien du tout. En soupirant, je me pris la tête entre les mains,ferma les yeux, et tenta de faire disparaître cette migraine effroyable qui me broyait le crâne...

Klen ne savait plus ce qui ce passait. Il pensait au début que c'était un rêve: il ne croyait jamais revoir sa douce Eim mais au fur du temps, le rêve devint cauchemar. Il soupira en ce dirigeant dans la cours. Il s'arrêta brusquement et chercha Eimy avec ses sens magiques. Il la repéra sur le toit. Klen, étonné qu'elle soit à cette endroit car il savait qu'elle avait le vertige, partit en sa direction.

Il arriva finalement au toit. Mine basse et coeur serrer, il s'éclaircit la voix et prit parole.

-Je me demande comment tes parents réagiraient si ils voyaient ton comportement. Ce n'est sûrement pas celui d'un descendant des meilleurs Chevaliers d'Émeraude. Dit-il de sa voix douce sans penser à comment elle réagirait, il voulait juste que tous revint comme avant.
-Pendant ton départ, j'ai pensé a tout les scénarios possibles mais celui de devenir un Chevalier Noir ne m'avait jamais traverser l'esprit. Je croyais que tu étais trop gentille, aimable et loyale pour devenir comme un d'entre eux... Il se tût se plaça à côté d'elle en position assise.

Je sentis bien l'approche de Klen, mais les paroles de Kathoux résonnaient encore dans ma tête, alors je n'y prêta aucune attention. Ainsi, il était inutile de parler à Kathoux, ou à Caïn, pour que je puisse réintégré les rangs de chevaliers. Les larmes embuèrent mes yeux, mais je parvins à ne pas les laisser couler. Alors, la voix de Klen, celle-là même qui savait me calmé, résonna prêt de moi, ne faisant qu'accroitre ma douleur.

"Mes parents sont morts, Klen."

répondis-je froidement, blessée davantage par les paroles de Klen. Alors, il parla de nouveau. Aussitôt, piquée, je me redressai, le regard presque haineux.

"Tu crois que je l'ai fait par choix? Tu crois que c'est ce que je voulais?"

Désolée, je secouai la tête avec un rire amère.

"La petite fille gentille et aimable que j'étais est morte quand je me suis fait enlever.."

Je soupirai, hésitant à parler de nouveau car je savais que je causerais plus de mal qu'autre chose. Mais je m'emportai, évidemment.

"Tu comprends ça, Klen? j'ai été enlevé! Et tu ignores ce que j'ai subi, alors ne vient pas me reprocher ce que je suis devenue!"

je lui crachai littéralement ces mots à la figure et je tournai les talons sans un mot, redescendant vers la cours. Aurait-il aimé mieux que je m'enlève la vie? Car j'y avais maintes fois penser. Cette falaise où grouillait l'eau noir, claquant contre les rochers, m'avais tant attiré! Et maintenant, elle m'attirait davantage. Oh, comment j'aurais voulu sauter en bas du toi en ce moment!C'était une idée si délicieuse...

Klen savait évidement que les parents d'Eimy étaient mort mais il n'avait fait que supposé. À la réponse de celle ci, le coeur de l'homme se serra d'un coup sec.

-Je n'en savait rien... Dit-il en baissant la tête mais en gardant son sang froid. Ils le payeront. Chuchota-t-il avec de la determination dans les yeux. Il aurait aimé que l'enlèvement ne soit jamais produit et qu'il aurait voulu l'empêcher même si ça lui aurait coûté la vie. Le bien être d'Eim lui tennait, depuis leur première rencontre, toujours à coeur.

-Je me demandait quelque chose. Si tu veux bien m'en parler... Comment c'est passé ton enlèvement? Comment c'était sur Irianeth?
Il savait que ce n'était sûrement pas le meilleur sujet de conversation mais il fallait qu'il le sache!

Déjà loin, je m'arrêtai subitement et me tournai vers Ken alors qu'il parla. Il voulait que je lui parle de mon enlèvement. Comme si je n'étais pas assez...enfin...

"Tu me demandes de te dire ce qui s'Est passer?"

répétais-je, fiévreuse. Je n'arrivais pas à y croire. Toutefois, je m'exécutai, de plus en plus venimeuse.

"Je me promenais, là-bas, commençais-je en fasant un vague mouvement de la main vers la forêt, et on m'a assommer. Je me suis réveiller, avec une énorme bosse sur le crâne, avec l'impression que ma tête allait m'explose, et j'étais là, sur Irianeth. Voilà comment ça c'Est passé!"

Je me tus, honteuse, et me tournai de nouveau, décidant de me rendre de l'autre côté du toit. Je regardai le vide sous moi, alors que j'étais debout, tout près du bord. Je fermai mes yeux de braise, ne voulant que sentir le vent me pousser...

Klen fermit les yeux pendant qu'elle fit son histoire. Il voulait tout savoir mais c'était sûrement pas le moment. Il alla rejoindre Eim sur le bord du toit opposé. Il l'enlaça part la taille et la tira doucement vers le millieu du toit, ne prennant aucun risque je la perdre encore mais cette fois pour toujours. Il lui envoya une vague d'amour ainsi qu'une vague apaisante.

-En autant que tu soit vivante et auprès de moi, je suis l'homme le plus heureux. Dit-il avec la même voix qui inspirait la bonté et qui tentait d'être le plus rassurant possible. Si elle se calmait pas avec ça, Klen avait un autre tour dans son sac.

Que des mensonges! Je n'étais plus la même, il l'avait lui-même dit quelques minutes plus tôt. Comment pouvait-il savoir s'il était l'homme le plus heureux? PEndant un moment, je restai là, impuissante, puis je me défis de lui.

"Vivante, certes, mais aurpès de toi, ce ne sera pas possible."

ma voix était calme, dû à la vague d'amour et d'apaisement que Klen venait de m'envoyer, toutefois, elle décelait un tel détachement, une telle indifférence apparente que j'en fus moi-même surpris. Mais cela ne m'arrêta pas dans mon élan...

"Ne comprends-tu donc pas que ce que tu penses de moi, ce que tu m'as dit là, il y a à peine quelques minute, tout les autres chevaliers le penseront. Et de même que Kathoux? Voyons Klen, tu as été plus intelligent! Pourquoi me reprendrait-on après ce que je viens de faire?"

Je secouai la tête puis soupira. Je commençai à reculer, lentement.

"Je vais suivre les conseils de Kathoux et repartir. C'est tout ce que je puisse faire. Et n'essai pas de m'en empêcher, ça ne sert à rien."

Mon ton de vox s'était fait plus dur sur cette dernière phrase. Je tournai les talons et continuai ma route. Inconsciement, j'espèrais qu'il fasse quelque chose, car ce château avait toujours été mon chez-moi. Jusqu'à aujourd'hui en fait. C'est avec amertume que je compris dans quel pétrin je venais de me fourrer et de la gravité de ma situation. Les deux hommes qui comptaient le plus pour moi m'avaient donnée, ainsi qu'à eux-même, de fausses espoirs en affirmant que Kathoux me prendrait de nouveau dans ses rangs. Alors, subitement, j'éclatai en sanglots amèrs. Je m'effondrai sur mes genoux, à bout de force, incapable de combattre davantage contre ce que j'étais, malgré moi, devenue.