Chambre d'Érika et Alexandre

Érika avait quitter Seliana très rapidement. Érika sentait que la jeune femme allait être fortement ébranlé et que sa réaction allait être très négative, mais Seliana finirait par réaliser que personne ne pouvait être heureux sur l'autre continent. Enfin. Érika apparut dans la chambre. Elle s'approcha de la commode, puis l'ouvrit. Elle en ressortit une tunique blanche et légerte. L'hybride retira ses vêtements salit par la sueur, puis revêtit les propres. À cette suite, elle alla s'asseoir sur le bord du lit, laissant ses pieds nues se refroidir sur la dalle. Elle inspira profondément, puis expira calmement.

-Enfin un peu de calme... se dit-elle, s'allongeant alors doucement sur le lit.

J'ai toujours eu de la misère à m'adapter continuellement à Émeraude durant des années. Vela 14 ans, j'ai déserter sans dire un mot. Puis durant ses 14 ans, j'ai épouser une merveilleuse femme et concu deux jumeaux magnifiques et j'adorai toute ma vie. Mais encore, il me fallait plus. Ma solidariter était trop importante pour moi. Rester ainsi avec du monde 24 h sur 24 pendant 14 ans de temps m'avait énormément alourdie. Dans quelques années, je vais frappée la barre des 50 ans et ma vie n'est pas la même que j'ai souhaiter que lorsque je suis devenu chevaliers d'Émeraude à 21 ans. Oui, j'ai une femme qui peu prendre soin de moi, des enfants de rêves. Mais pour moi, être seul pendant de long moment fait toujours partit de ma vie. Pendant donc 1 an, j'ai laisser ma femme seul, avec mes deux enfants, laissant quelque fois des lettres. Une fois par mois je leurs écrivait une lettre comme quoi j'était toujours vivant mais que j'était toujours pas prêt à revenir. Je sais que c'est pas bon, pour moi, un père, laisser ainsi sa femme et ses deux enfants seuls pendant une très longue année. L'absence du père dans une famille peu affecter souvent l'un des deux enfants.

Puis durant une nuit, à peu près comme tout les autres, j'ai ressenti au delà de moi, mon absence au près de ma femme. Je la sentais seul, dans notre chambre habituel, complètement épuiser. J'ai donc pris une grande respiration et je me suis téléporter jusqu'a notre chambre. Quand je suis apparut, au loin, peut être 3 mètres pas plus nous sépare, je la regardait, comme si j'était un fantome.

- Érika...

Ai-je dit en soufflant simplement ses paroles. Au fond de moi je me sentait énormément coupable de mon act, mais cette année ma refait vivre en moi, une nouvelle vie, un nouvel être qui veut continuer de vivre.

Il y avait déjà une année complète qu'Érika et les jumeaux n'avaient pas vus Alexandre. Érika avait été un peu surpris du départ précipité d'Alexandre, mais elle avait finit par comprendre qu'il était nécessaire qu'il se retrouve seul durant un certain temps. Elle avait donc finit par accepté la décision de son époux, en espérant fortement qu'il fasse attention à lui et qu'il ne fasse pas trop de bêtise en route. Érika s'était cependant très inquiété pour Iseabail et Sìleas. Les enfants ne cessaient de demander des nouvelles de leur père et malgré les lettres d'Alexandre, ceux-ci, particulièrement Iseabail, pleurait le départ de leur père. Érika étant très empathique face à ses enfants, se retrouvait régulièrement dans la chambre de ses enfants pour les réconforter, en leur disant que papa serait de retour bientôt... Au fil des jours, des semaines et des mois, les enfants s'étaient tranquillement habitué à la situation. Ce qui les aida d'avantage, s'était les derniers mots qu'Alexandre inscrivait au bas de chaque lettre : «Je vous aimes».

Érika dormait paisiblement, sous les couvertures de soies. Bien calé dans les oreillers, elle ne perçu pas l'arrivé soudaine de son mari. Cependant, elle ne resta pas endormit encore très longtemps. Le simple murmure, sa voix à lui, vint caresser les oreilles de la femme hybride. Un sourire chaleureux s'étira sur les lèvres d'Érika, alors qu'elle ouvrait les yeux et tournait la tête vers Alexandre. Érika était si heureuse de le revoir, mais à la fois tellement malheureuse. Elle avait peur qu'il reparte et qu'il prenne encore beaucoup de temps avant de revenir. C'est pourquoi, elle n'osa pas se lever du lit. Elle ne fit que se redresser, tout en continuant de le regarder, calme et sereine.

-Tu nous a énormément manqué, Alex... dit-elle émue.

J'avais juste à sentir les pensées de mon épouse et j'était déja secouer. Au par avant, j'était partit 7 ans sans dire un mot à personne. Mais juste cette année, elle fit plus mal que d'habitude. Mais la c'était différent. Derrière moi j'avait laisser des personnes trop importantes pour m'absenter ainsi trop longtemps. J'ai avalar ma salive de travers et je me suis avancer vers le lit pour m'assir juste au pied du lit.

- Je sais.... Et moi donc... En te voyant dans les yeux, Érika, je me sens tellement misérable de vous avoirs laisser tout les trois seuls pendant plus d'un an !

J'était désorianter, boulerverser serait le mot plus exact. Mais il fallait se rendre à l'évidence, se qui est fait est fait ! Je ne pouvais pas revenir en arrière, mais par contre je pouvais repartir du bon pied. Surtout avec Iseabail. C'était l'une des deux avec qui il avait le plus de facilité de communication entre les deux. Avec Sileas aussi, mais c'était un peu différent avec lui.

-Je suis de retour pour de bon chérie.

Ai-je dit tout simplement et avec un sourire sincère.

Érika le regarda venir s'asseoir. Elle pensa une fraction de seconde à se déplacer et aller se réfugier dans les bras de son époux, mais elle abandonna l'idée, encore un peu trop secouer, malgré son bonheur de le retrouver. C'est comme si elle craignait de le voir disparaître. Elle ne voulait pas le bousculer, loin de là! Ce qu'il ajouta finalement, vint détendre grandement Érika. C'est comme si Alexandre venait d'étendre un baume sur son cœur. Et c'est à ce moment qu'elle sut qu'elle pouvait enfin s'approcher et agir.

Donc, à la manière des félins et avec une grâce inouï, Érika se faufila auprès d'Alex, s'assoyant finalement sur ses genoux. Elle passa ses bras autour de son cou et alla enfouir son visage dans le creux de cette même région. Elle ne pleurait pas, même si l'envie y était. Toutefois, elle resta forte.

-Je suis tellement heureuse de te l'entendre dire! chuchota-t-elle.

Après quelques secondes, elle releva la tête et plongea son regard violet dans celui de son amant. Elle sourit doucement, avant d'aller caresser sa joue, avec une infime tendresse. Elle alla déposer un léger baiser sur les lèvres du chevalier, sans plus. Elle retrouvait ses habitudes d'autre fois... Quoique Érika semblait beaucoup plus douce qu'avant.

Le baiser qu'elle me donna me fit frémir d'amour. Cela me faisait tellement le plus grand bien. La solidariter s'est bien, mais l'amour reste toujours un grand trou dans mon coeur et Érika le rempli à merveille. Il n'y a pas deux femmes pareils comme elle. C'est vraiment la femme de mes rêves et que maintenant, mes rêves sont devenus réalité.

-Cela me fait tellement du bien de pouvoir t'embrasser Érika. Le goût de tes lèvres sont rester le même.

Ai-je dit en m'approchant lentement pour l'embrasser, cette fois-ci, moi même sur ses lèvres sucrée et délicieuse.

- Je t'aime tellement Érika. Ainsi que nos jumeaux adorer.

Un large sourire parcoura mon visage qui se fessait vieux année après année. Je détestais vieillir, puisque je trouvais que je vieillissais très mal. Beaucoup de mèche blanche était maintenant très permenante dans mes cheveux. Mais au moin j'était toujours aussi en forme.

Si seulement Alexandre savait ce que pouvait ressentir Érika à ce baiser. Combien cela lui avait manqué, combien il était bon de retrouver ce contacte amoureux. Il lui avait fallu observer chaque personne amoureuse, sans pouvoir exprimer son propre amour, son amour pour Alexandre. Même par écrit, il lui était impossible, puisqu'Alexandre se déplaçait, où bien ne disait pas nécessairement où il se trouvait.

-Ils t'aiment eux aussi. Autant que moi je t'aime!

Érika ressentit un étrange frisson, un frisson cependant très agréable. Elle sourit tout de même et ne pu s'empêcher de rire un peu. Elle passa une main griffu dans les cheveux grisonnant d'Alexandre, connaissant ses penser.

-Ce n'est que de la sagesse tout ça. Ne t'en fait pas. En plus, à mes yeux, tu restes le plus beau de tous les hommes!

Érika ne pouvait être plus sincère. Elle était tout à fait sérieuse. Elle aimait Alexandre tel qu'il était, jeune ou vieux, rien n'y changeait. Alors qu'elle e faisait lentement à l'idée du retour de son amoureux, Érika reçu le message de Galariel, très rapidement suivit d'une image, dans sa tête. Elle fronça les sourcils, puis soupira. Certes, elle aurait voulu profiter d'encore quelques minutes avec son bien aimé, mais son devoir de chevalier l'appelait. Toutefois, elle se sentait terriblement mal de le laisser ainsi...

-Je dois te laisser, Alexandre. Galariel à besoin de moi. Je te promet de revenir, dès que j'aurai finit...

Érika se leva, de manière élégante, puis envoya un dernier baiser volant à Alexandre, avant de disparaître. **Je t'aime!**, lui jeta-t-elle à la fin.

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