Terrain de Megara et Thomas

Thomas avait crut bon de prendre un seul cheval. D'être collé contre sa douce ne lui ferrait pas de tord, nin à lui, nin à elle. Le menton appuyé sur l'épaule de celle-ci, i l lui susurrait de petits mots d'amour, tout en conduisant son cheval de combat sur un sentier. Un sentier nouveau, sinon que tous deux n'empruntaient que très rarement. Thomas, sans Megara, avait prit la peine de se rendre au village avec quelques paysans afin de voir un terrain libre, où il pourrait bâttir leur demeure.

Talonnant son cheval tranquillement, il lui fit traverser un petit pont où ruisselait un petit courant d'eau clair, pour finalement arrivé sur un terrain complètement vide. Un Terrain plat qui plus tard allait devenir leur chez eux. Thom fit arrêter sa monture, descendit de son dos et aida sa douce à descendre, même s'il savait qu'elle y parviendrait tout de seule.

-Est-ce correct comme endroit pour déguster un bon repas? demanda-t-il, prenant les victuailles que les cuisinières avaient prit le soin de leur préparer.

Il tira également une couverture afin de la déposer sur le sol pour qu'ils s'y installent sans se salir.

[Si tu veux faire arrivé d'autre personne, comme le papa et ou la maman... c'est correct ^^]

(Je me suis ennuyée de toi, mais au moins j,ai su enfin ce que tu maniganceais depuis le début ^^)

C'était bien agéable encore de chevaucher non pas avec l'hombre qu'elle aimait, mais plus chevaucher contre celui qu'elle aimait. Ses bras passaient tout près de sa taille comme une délicate accolade pour que ses mains tiennent bien les rênes de la patiente et forte monture qui avait bien accepté de supporter les deux amants. La tête du chevalier était aussi sur son épaule pour mieux lui murmurer quelques mots doux que elle seule pouvait entendre. Un sourire sur ses lèvres, jamais Megara n'aurait crut être un jour aussi heureuse. Ils passerent devant plusieurs maisonées et paysans qui travaillaient la terre qui les saluèrent respectueusement malgré leur apparence un peu moins officielle qu'à l'habitude.

S'arretant dans une grande prairie d'où ils avaient passé un petit pont de bois pour s'y rendre, tout en voyant le chateau au loin, entouré de fleurs et de grands arbres qui donnaient l'impression d'être protégé et dans un intime nid d'amour. Thomas descendit en premier pour ensuite venir prendre la taille de son épouse pour l'aider à descendre doucement. Faisant quelques pas tandis que la monture allait brouter un peu plus loin, ils prirent la grande couverture pour s'y reposer tout en ouvrant leur baluchon de victuailles.

-C'est parfait mon amour.

Lui répondit-elle. Cet endroit avait été choisi avec un très grand soin, cela paraissait beaucoup. À peine eurent-ils le temps de sortir ls premiers aliments de leur panier qu'un paysan assez agé chevaucha vers eux à vive l'allure avant de s'arreter devant eux l'air visblement stressé.

-Ma belle-soeur.. je vous en prie elle est en mal... Aidez-là...

Aussitot dit, les deux amoureux suivirent rapidement l'homme qui les emmena au village le plus près. Entrant dans sa maison d'où sa femme prenait la main à une du même age au teint blanc, Megara réalisa soudainement que cette femme avait une énergie similaire à son amant. Une maladie ravageait la vieille femme qui fermit les yeux en voyant l'homme à la cuirasse...

Thomas était content de sentir et de savoir que Megara aimait l'endroit, car sous peu, cela deviendrait leur chez soit, si toute fois, les autre chevaliers, le roi et la magicienne acceptait la nouvelle situation que Thom et sa douce moitier avait omis de dire... Bref, cela ne dérangeait aucunement l'homme à la tignasse blonde, qui ne savourait maintenant plus que son bonheur et celui de Megara.

S'étant sagement assit au côté de sa dulciné, Thomas s'apprêtait a lui servir un peu de vin frais. Son geste fut cependant suspendu à l'arrivé d'un cavalier tout énervé. N'écoutant que son coeur de chevalier, les deux amoureux se hâtèrent de suivre le paysan qui les conduisit jusqu'au village. Dès qu'il eut mit les pieds, seulement devant la porte, Thomas sentit son coeur se serrer, sans savoir pour qu'elle raison. Il laissa de côté son tracas, laissant l'homme et Megara pénétrer les premiers.

Marchant tranquillement, afin de ne paniquer personne, Thomas, tout comme la jeune chevalier qui était sienne, s'approcha de la victime... Son coeur se serra alors qu'il vit son visage veillit. Malgré les rides qui avaient pris sauvagement forme sur son visage dont les yeux se fermait au moment ou il allait croiser son regard. Thomas déglutit et sans attendre la réaction de Megara, il s'agenouilla près du lit ou reposait la malade, repoussant du même fait la femme de l'homme qui était venu les ''quérir".

-Mère?... fit-il la voix enroué.

Thomas remarqua l'effort sur son visage, alors qu'elle tentait d'ouvrir les yeux. Il caressa alors sa joue, lui soufflant une vague d'apaisement, afin qu'elle souffre moins.

-Ne me quittez pas maintenant... supplia-t-il sur un même ton, oubliant complètement le reste du monde.

La dame souleva lourdement sa main, allant la poser sur celle de son fils unique. Dès qu'il l'avait appelé mère, elle avait sut que s'était e petit garçon qu'elle avait mise au monde, celui à qui elle avait permis de vivre... Une nouvelle vie, une vie sans souffrance.

-Thomas... murmura-t-elle, toujours en faisait de grands effort.

-Oui, c'est moi, dit-il.

Un sourire apparut sur ses lèvres. Toutefois, Thomas sentait que sa mèer allait bientôt rendre l'âme. Son coeur se brisa à cette idée. Perdre une autre personne, malgré les années séparé, le ferrait tout autant souffrir que lorsqu'il avait perdu Népharate et Phillipe.

-Laissez-moi vous soigner, mère, exhorta le chevalier.

-Non, mon fils. Laisse-moi partir, tout sera ainsi plus facile...

<> Thomas fronça les sourcils. Il avait une petite idée de ce qui pouvait faire dire une telle chose à sa douce et tendre maman. Il resta agenouiller devant Isadora, sa mère, passant ses mains lumineuse au dessus d'elle. Il voulait à tout prit la laisser vivre. Il voulait la présenter à Megara, il voulait qu'elle voit ce qu'il était devenu. Il voulait qu'elle voit ses petits enfants, lorsque Megara en aurait, bien entendu! Quitte à ce qu'il lui transmette toute énergie possible de la terre...

Thomas se concentra particulièrement sur l'énergie qui détruisait peu à peu Isadora. Il ne voyait plus que ce noir qui envenimait les organes de l'Émerienne. Il désirait au plus au point retirer le poison de ce corps si pure! Et pour ça, lui qui n'avait qu'une infime croyance en les Dieux, se mit à prier silencieusemet afin que sa mère ne soit pas envoyer maintenant vers les plaines de lumière.

Pour toute réponse, Thomas eut droit au sourire de sa mère et ses yeux verts, exactement pareil à ceux du chevalier. Est-ce que les dieux avaient finalement exossé son souhait? Si s'était le cas, il ne pouvait qu'en être très reconnaissant. mais pour s'en assuré, Thomas repassa ses mains au dessus de la vieille femme, pour constater que le nuage noir avait rétréssit. Il se tourna alors vers tout le reste du monde, qui le regardait avec étonnement, en plus de lire l'étonnement dans leur regard, il lisait la reconnaissance. Thomas ne put que sourire à chacun d'eux. Son regard s'arrêta cependant sur Megara, à qui il fit signe de s'approcher. **J'ai à te présenter quelqu'un...** dit-il le coeur léger.

Alors que Megara s'approchait de lui, Thomas fronça les sourcils. Une soudaine colère monta en lui. Une rage depuis trop longtemps retenu. Avec une douceur hypocryte, il se releva. Seul Megara aurait pu savoir que Thomas ne se sentait plus d'humeur, malgré le sourire charmant qui restait affiché sur ses lèvres. Le chevalier vangeur s'excusa auprès des quelques membres de sa famille maternelle, puis alla vers la porte. Il la poussa et à son plus grand malheur, découvrit un homme presqu'ivre sur le pas de la porte. Heureusemet pour l'ivrogne, il ne reconnut pas Thomas.

-Pou'z'e toi l'jeune... fit Meliroy.

Le père biologique de Thomas tenta de passer, mais fut sèchemet stoppé par le chevalier. Meliroy chancela à la pousse de Thomas, mais revint plus férocement, levant le point. Thomas constata qu'il n'avait aucunement changé avec les années. L'homme ont le sang coulait dans les vaines du brave chevalier, était toujours aussi impitueux! Toutefois, Thomas fut beaucoup plus rapide que lui, arrêtant le coup de son "adversaire" sans crainte. Au contraire, il relança le coup, jetant du même coup Meliroy par terre. Rapide comme l'éclair, Thomas sortit son poignard de son étuit et le porta sous la gorge de son agresseur. Thomas avait du même fait appuyé son genou sur le potrail de son soit disant père.

Jamais encore Thomas d'Émeraude n'avait tué un être humain, des soldats insects, oui, mais jamais un humain! Aujourd'hui, il sentait un besoin terrible d'assassiner l'homme coupable de tous les malheurs de sa mère!!

-Tu nous a fait trop longtemps souffrir, tu mérites de mourir à la place de maman!!! rugit-il, les yeux rouge de colère!

Meliroy semblait maintenant effrayé. Mais très rapidement, il comprit à qui il avait à faire ; son fils, Thomas. Il le croyait mort. Isadora lui avait pourtant assuré la mort de ce dernier. Thomas poussa le poignard plus loin, allant jusqu'à entailler la peau de son traitre de père. Maintenant qu'allait faire Thomas, tuer ou non son géniteur...?

Megara, en voyant Thomas s'approcher rapidement malade sut qu'il se passait quelque chose qu'elle ignorait. Certes, il lui avait déja avouer qu'il n'était le fils biologique de Népharate et de Phillipe, mais qu'il ne demeurait tout de même leur enfant malgré tout. Elle était en arrière de lui prête à le supporter n'importe quand si quelque chose se passait de mal. Et oui, elle finit par deviner l'identité de la femme agée devant son amour, la mère de celui-ci. Mais encore une fois, il avait toujours resté très secret sur cette partie jeune de sa vie, mais c'était bel et bien ce qui lui causait des crises de rage et de colère qulque chose que elle seule pouvait aider à maitriser même si elles deviennent de plus en plus fortes...

Enfin, Thom parla avec sa mère, découvrant son malaise et pourquoi elle était dans son état, mais en même temps, elle ne savait s'il aurait suffisamment de force pour venir à bout de la maladie n'étant pas encore tut à fait rétabli de sa bataille la journée précédente, mais elle lui faisait confiance. Lorsque le chevalier fermit les yeux,une lueur blanche que elle seule put voir à cause de ses dons magiques, l'envellopa avant de se répendre sur les personnes autour, mais surtout la malade. Lorsque l'énergie vint la toucher, la jeune femme ressentit ses forces se quadrupler, mais aussi un petit coeur battre dans ses oreilles en ne sachant pourquoi. Puis, après l'intervention, son époux lui demanda de s'approcher, ce qu'elle fit tranquillement sans se presser. Il voulait présenter les femmes de sa vie.

Mais tout ne fut pas que douceur, le coeur de son amour se serra et Megara sut en ce moment que quelque chose n'allait pas, s'attendant à le voir changer rdicalement d'être. C'était son devoir de lui empecher de faire du mal aux autres. Se dirigeant avec son masque vers la porte pour l'ouvrir et arriver devant un homme tout aussi agé et puant l'alcool. Tout le reste se pasa si vite. L'homme se retrouva sous Thomasle poignard à la gorge dont déja le sang coulait légèrement sur sa peau. Étant la seule à pouvoir arreter cela, elle se précipita vers eux.

-Non, Thom ne fais pas ça...

Murmura-t-elle en mettant sa main sur la sienne pour enlever l'arme de sur l'Emérien. Il serrait l'arme tellement fort qu'on pouvait y voir ses jointures aisément. Mais même à cela, il ne lacha pas prise alors la jeune femme n'eut le choix elle lui envoya un coup de foudre sur lui, mais il ne réagit même pas étant maintenant protégé de l'électricité. Mais en même temps, il la remarqua sachant qu'elle voulait lui empêcher de la tuer et la lueur blanche qui autrefois était sur lui disparut pour laisser une lueur bien noircit par la haine et ce fut sous son regard ténébreux qu'elle ne sentit revoller dans les airs avant de fracasser un arbre et de tomber comme une mouche au bas de celui-ci inconsciente...

Thomas avait devant lui celui qui lui avait empêcher de vivre sa vie, auprès de sa douce et très chère mère. Il ne méritait certainement pas d'être épargné. Déjà qu'il avait laisser vivre un meutrier ; Terebnor, il n'allait pas laisser Meliroy. De plus, il l'avait sous sa lame! Tout autour de Thomas sembla soudainement sourd, plus aucun son ne se fit entendre à son oreille. Toutefois, il vit Megara, et sentit sa main sur la sienne. Malgré toute l'orage qui faisait de grave ravage en lui, il sut qu'elle tentait de l'arrêter, mais trop furieux, il ne voulu rien arrêter.

-Il mérite ce qui lui arrive! cria-t-il, la peine au coeur.

Car, contrairement à son qu'on pouvait penser, Thomas ressentait beaucoup plus de peine que de colère. Après tout, Meliroy était son père. Ce que Thom ne comprennait pas, s'était pourquoi ce dernier avait comit tout ces gestes? Ne réalisait-il pas à quel point il faisait du mal?!

Il setit en lui une petite secousse, s'était la foudre qui avait traversé son corps. Megara lui avait envoyé cette attaque en oubliant qu'il était désormais immunisé, mais non seulement ce fut ça, mais l'énergie électrique s'accroitra. De petits filemment jouèrent sur ses bras, allant s'attaquer à Meliroy, qui suppliait Thomas de le laisser en vie.

Au même moment ou Thomas foudroyait son père, une éclaire jaillit également du ciel, atterissant juste en face de Megara, ce qui eu pour effet de la faire voltiger plus loin. Malheureusement, Thomas n'avait pas vue cette scène. Au moment ou il allait en finir avec l'Emerien, Thomas fut vite pousser. Les yeux brûlant de colère, il regarda celui qui avait oser s'interposer. À son plus grand étonnemen, s'était sa mère. La vieille femme le regardait... Un regard réprimandeur.

-Tu me semblais bien élevé, Thomas!

-Mais...

-Il n'y a pas de mais qui tienne! C'est ton père...

-Il vous a fait du mal, il MA fait du mal. Et vous l'aimez toujours?... comprit Thomas. Vous avez préférez m'abandonner plutôt que de le qutter! Moi, votre seul et unique enfant!!!

Thomas réalisait à quel point s'était douloureux de voir la vérité en face. Il aurait certainement préféré ne pas être venu, de ne pas avoir revu sa mère, de ne pas... Il baissa la tête.

-Regarde ce que tu as fait, Thomas! La belle femme qui t'accompagne gise maintenant sur le sol, par ton manque de contrôle! Tu veux me faire sentir coupable, alors que j'ai voulu te protéger, et voit comment TOI, tu traites ceux que tu dis aimer!

Thomas tourna la tête. En effet, Megara était plus loin, inconsciente sur le sol. <> Comment était-ce donc possible! Sa mère avait raison! Tout ceux qu'il disait aimé, subissait un triste sors, à commencer par ses parents adoptifs... Eimy et voilà, Megara! SAns perdre une seconde, Thomas se rendit auprès de sa belle. Il soutint sa tête, la déposant sur ses genoux et se mit à pleurer, comme un véritable bébé. Jamais il n'avait vraiment pleuré et le voilà maintenant qu'il versait toutes les larmes de son corps, celles qu'il avait trop longtemps retenu.

-Je suis tellement désolé, mon amour... s'affligea-t-il. Je ne suis pas digne de toi... non pas du tout.

Il posa ses lèvres sur son front, l'embrassant à cet endroit, alors que les larmes coulait sans aucune retenu sur la peau de pêche de Megara.

Maintenant, Thomas se sentait plus que jamais coupable! Pour une raison qu'il n'arrivait pas à connaitre, il avait l'impression que tout l'abandonnait, que plus les larmes coulaient, plus il se sentait léger. De plus, le fait de repenser à tout, complètement tout... lui faisait terriblement mal et plus il avait mal, plus il pleurait. Il réalisait à quel point il n'avait pas toujours donné la vie facile à Megara, à cause de toutes ses crises. Tout comme son père, il avait été méchant et égoiste!

Il remonta doucement Megara contre lui, la serrant dans ses bras. Il l'aimait tellement, jamais il ne voudrait la perdre, Ô grand jamais! Si seulement il devait la perdre, Thomas ne serrait plus rien! Sa mère vint alors s'agenouillé près de lui, déposant une main légère sur son épaule.

-Si cette jeune femme t'aime, comme j'aime ton père, elle te pardonnera tous tes gestes, aussi mélancolique soit-il, dit-elle avec une grâce inoui!

Elle alla essuyer la joue trempé de son unique fils, lui offrit un mince sourire. Thomas se demandait bien si elle avait raison. Mais si s'était le cas... Il baissa les yeux sur Megara. Si elle lui pardonnait... Pour ça, il fallait qu'elle se réveille, qu'elle reprenne ses esprits. Thomas leva les yeux au ciel, quelques secondes et les rabaissa, sur Megara, caressant tendrement son visage. Que pouvait-il faire?...

Megara était inconsciente sur le sol, dans les herbes sans bouger comme une statue qu'on aurait oublier. Respirant calmement, on aurait pu croire à priori qu'elle dormait paisiblement malgré les quelques écorchures qu'il y avait sur ses bra et ses jambes. Ses cheveux blonds de blé en éventail sous une petite brise qu'elle ne sentait pas vraiment, mais au moins le choc n'avait pas endommagé aucun os ni organes. La seule chose qu'il y avait de différent, même si seulement un elfe aurait les sens assez aiguisés pour, était un petit être minuscule qui se développait au sein de sa mère qui était en repos. Il était certain qu'il allait bientot être découvert par ses parents, même si la jeune femme avait crut entendre un petit coeur battre à l'unisson avec le sien.

Enfin, après quelques minutes d'où son époux vint la rejoindre, la prenant délicatement dans ses bras, comme plus tot ce matin, cachée et réconfortée, aimée, protégée. Ce fut alors cette chaleur humaine qui vint la réveiller tranquillement, refermant tout de suite les yeux à cause du soleil, mais essayant de les ouvrir petit à petit.

-Thom...

Murmura-t-elle avec une minuscule et faible voix fine qui contenait aucune colère, mais se sentant un peu perdue ne sachant pourquoi elle était étendue ainsi. Elle avait même un énorme mal de tête à cause de l'arbre qu'elle avait cogner. Puis, Megara sentit sur son visage des gouttes d'eau, ses cheveux légèrement humides. Ce fut là qu'elle croisa les yeux de son bien aimé qui pour la première fois pour elle, pleurait tout en souriant, heureux de son réveil.

Qui aurait bien pu croire que, déjà, en Megara, grandissait un petit être. Ce n'était que le commencement de cette nouvelle vie, et son énergie était encore peu perceptible, mais bientôt, les deux chevaliers apprendraient qu'ils allaient passé à une nouvelle mission, plus importante encore, que la guerre, celle d'élevé un enfant! C'est à se demander comment Thomas allait encore réagir! Certes, il y avait longtemps qu'il attendait l'arrivé d'un petit bonhomme, mais en ces temps difficile, peut-être n'était-ce pas une bonne idée? Enfin, c'est à voir lorsqu'il l'apprendrait!

Thomas fut très content de voir que Megara reprennait ses esprits. Il se sentait tellement mal d'avoir agit ainsi, comment pourrait-il se faire pardonner, encore une fois? Au lieu de se casser la tête, il lui sourit pour la réconforter. Il alla essuyer ses yeux, pour ensuite retourner caresser son beau visage.

-Ça va?... demanda-t-il peu certain.

Quand à ceux qui les entouraient, ils les regardaient avec de beaux yeux tendre. Ils semblaient être sous le charme de voir ces deux êtres amoureux. Le regards de Thomas, dévisageant sa belle ; s'était de l'amour pur!!

Isadora avait alors rejoint son mari, qui commençait à retrouver ses esprits. Ce dernier la regardait d'un air perplexe. Il y avait quelques heures, Isadora était sur son lit de mort et la voilà qui marchait et qui avait retrouver des couleurs. Comprennant son questionnement, la belle blonde sourit, regarda son fils, puis ;

-C'est grâce à notre fils que je suis toujours ici. Il est devenu quelqu'un de bien tu sais?

Meliroy grommela. Sa femme trouvait que son fils était quelqu'un de bien, après ce qu'il lui avait fait. L'homme à la tignasse brune s'approcha doucement de Thomas, avec beaucoup de méfiance. Et comme si cela n'avait pas été assez, Meliroy jeta à son fils ;

-Bien?! T'du parle... T'es faib'e comme quand t'du étais gamin! Fils, ingrat!

Isadora baissa les yeux, triste. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi Meliroy s'entêtait à rabaisser son fils. Juste lui. Pourquoi pas sa fille? Justement, parlant de la jeune femme. Une belle jeune demoiselle à la longue chevelure or et bouclé rejoint sa mère, la serrant tendrement.

-Ça va aller, mère, lui susura-t-elle.

Isadora sourit, mais fit plus attention à la réaction de Thomas. Justement, ce dernier levait son regard sur son père, le fixa droit dans les yeux, alors que dans ceux de Thomas traversaient de petites éclaire. Si Meliroy ne voulait pas faire affaire à sa rage une nouvelle fois, valait mieux qu'il s'arrête tout de suite. Meliroy recula devant la menace silencieuse de son fils aîné.

Thomas se reconcentra alors sur sa femme, pour qui il continuait de s'inquiéter en silence. **Lorsque tu te sentiras assez forte, nous partons...** lui dit-il. Car plus vite il allait quitter les lieux, mieux il allait se sentir.

Ce n'était pas facile pour Megara de rester consciente, car le choc lui avait fait faire une commotion célébrale et elle avait vraiment le gout de dormir, plus que tout en faites, mais trêves de plaisanteries, elle avait beaucoup mieux à faire que dormir, même si cela aurait été ce qu'un guérisseur lui aurait non pas dit de faire, mais ordonné. Avec en plus le transfère de son énergie lorsque déja elle était épuisée, la jeune femme devrait absolument garder le lit. Surtout que dès le lendemain matin, elle devra affronter de multiples nausées... Ce n'était que le commencement de ses peines. Sa tête sous la sienne elle ouvrait et refermait les yeux, cachée dans ses bras.

-Oui...

Dit-elle à demi-mensonge, demi vérité quand finalement son beau-papa arriva près d'eux insultant Thomas qui rapidement et malgré lui, réagit. Ses pupilles se dilatèrent et on put même y sentir quelques filaments électriques sortir de lui. L'air était rendu bien tendue, mais malgré tout la jeune épouse deposa tout simplement sa main sur la sienne pour le calmer sachant qu'elle était le baume sur ses blessures. En même temps, Megara sentait que Thom était complètement boulversé de cette rencontre et il voudrait surement retrouver leur nid douillet rapidement afin de se changer les idées. Celle-ci le sentait complètement attisté et mélangé alors elle voulut mettre fin à son supplice jusqu'à ce qu'il se sente prêt à revivre cela.

** Nous... pouvons y aller mon amour...**

Thomas n'attendait plus que la réponse de Megara. Il avait tellement hâte de quitter cet endroit. C'est à se demander si un jour il allait désirer revenir. Pour le moment, s'était peu probable, mais bon. Thomas avait regardé son paternel durant une bonne et longue minute, toujours le regard emplis de haine! Quand il se décida de regarder un peu plus loin, il vit sa mère, avec... Avec une autre personne, dont l'identité lui était complètement étrangère, bien que son aura ressemblait de près à celle de Thomas. Son cœur se serra lorsqu'il réalisa qu'en fait s'état sa sœur. Il avait une autre sœur!?! Mais fut-il encore plus triste de réaliser que cette dernière était heureuse. Pourquoi Meliroy ne préférait-il pas son fils, qui aurait pu l'aider au champ et à faire toutes les travaux, à sa fille?!

Isadora remarqua l'attention que Thomas avait porté à Maiara, sa sœur dont seulement deux années les séparait. Isadora voulut aller les présenter l'un à l'autre, bien que Maiara connaissait déjà l'existence de son frère, mais la mère ne fut pas assez vite. Thomas aidait déjà Megara à se lever, et à l'installer sur le cheval qui les avait conduit jusqu'ici.

Thomas avait remarqué que Megara n'allait pas bien, et toujours par sa faute. C'est pour cette raison qu'il ne perdait plus de temps. Dans des mouvements délicats, il aida Megara à prendre place sur le cheval, montant derrière elle, le faisant s'installer confortablement contre lui. Il talonna calmement sa monture, passant tout près de sa mère, ignorant complètement son père.

-Reviens-nous voir vite, Thomas.

-Oui, reviens vite! renchérit Maiara avec un large sourire.

Thomas leur adressa à toute deux un faux sourire, ignorant s'il allait revenir vite, comme elles le souhaitaient. «Je ne reviendrai pas tant que, lui, il va être en vie!». Sur ce, il fit accélérer le cheval, question de retourner au château plus rapidement. «Ma petite surprise est tombé à l'eau!» pensa-t-il, alors qu'il était sur le sentier.

Son cheval était à peine stoppé que Thomas y déscendait. Déjà des villageois était entrain de monté les module de la demeure. Thomas avait demander un bon terrain au Roi, et son terrain il l'avait eut. La maison allait être grande, et pourrait accueillir une ribambelle d'enfants et d'amis au besoin. Enfin.

Thomas s'approcha de Mickel, un homme de bonne carrure, la peau assez foncé, les cheveux claire. Il était grand et fort ce que donnait un net avantage à la construction. Il le laissa déposer la plache sur le sol, puis :

-Les travaux avance très bien, Thomas. Tout le monde est de coeur avec toi.

-Merci beaucoup, Mickel. C'est très gentil. C'est pourquoi que je trouve que vous mériter un petit repos.

-Ah oui?

-Je suis en forme pour m'y mettre magiquement, pour un petit temps.

-Qu'est-ce que te rend de si bon poil?

-Une nouvelle qui a sut ranimer tous mes muscles et particulièrement mon coeur.

Mickel ne posa pas plus de question, souria plutôt et ramena ses hommes à l'homme d'un énorme chêne. Des femmes arrivèrent avec des plateaux et entreprirent la distribution de boisson rafraichissante, alors que Thomas s'y mettait de bon coeur. Les planche se soulevèrent par cordé, elles bougeaient calmement, mais sûrement. Thomas les installa une à une, à leur place respective. Jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'une autre pile de bois se mis à bouger. Thomas tourna la tête, pour voir près de lui une jeune femme qui lui ressemblait en tout point; blonde, moyenne, svelte, yeux vert. Thomas la regarda, suspendant ainsi son travail.

-Cessez de me regarder ainsi... dit-elle l'air intimider.

-Je vous ai déjà vue, non?

-Oui.

-Qui êtes-vous?

-Votre soeur sir. Petite soeur.

Thomas sentit ses jambes ramolir, ce qui fit tomber tout ce qu'il tenait en l'air. Maiara cessa également son travail, puis s'approcha de son frère qu'elle sentait faiblir.

-Pourquoi toi...?

-Si seulement j'avais une réponse... Mais parlons-en plus tard. Aujourd'hui, nous avons une maison à terminer.

Thomas devait se ressaissir, car cette dernière avait tout à fait raison. Ils devaient terminé la maison, pour pouvoir y accueillir tout le monde, dès que possible. Donc, le plus vite possible. C'est pourquoi il se reconcentra et avec sa soeur il monta toute la maison, ne restant plus qu'à installer le matériel, afin qu'elle soit assez solide.

[...]

Le soleil commençait à décliner, tout le monde était maintenant à l'oeuvre. Cependant, Thomas et Maiara continuait d'utiliser leur pouvoir, question que ça est plus vite, ainsi, ils pouvait soulever les objets plus lourd et ainsi de suite.

Akeelah avait passé la journée au château, seule. Maintenant que la journée commençait à être bien avancé, elle cherchait juste un peu de compagnie. C'est pourquoi la jeune chevalier avait décider de partir en promenade, à la recherche de quelque chose à faire. Donc, Akeelah avait rejoint Miguail, sa jument blanche, qu'elle avait prit soin de sellé, puis était partit vers le village.

En sondant les alentour, elle avait constaté une fameuse agitation, dans un coin tout près du château. Curieuse de savoir ce qui s'y passait, Akeelah mit Miguail au gallop, puis rejoint ainsi son frère d'arme, qui avec l'aide de villageois construisait une belle et grande demeure. La jeune femme désecendit de sa monture, regardant le travail qui continuait d'avancer.

-Thomas? appela-t-elle.

Elle voulait lui demander ce qu'il faisait là.

Thomas tenait une planche, afin qu'un autre homme la clou. Voyant que les travaux avançait à grande échelle, lui et sa sœur avait décider d'y aller plus calmement, donc, de ne plus utiliser leur pouvoir. Lorsqu'il entendit son nom, Thomas se retourna, pour voir qui l'interpellait. Il sourit en voyant sa sœur d'arme. Il lui envoya un petit coup de tête lui disant ainsi d'attendre quelques minutes, le temps que la planche soit installer. Quand ce fut fait, il s'approcha d'Akeelah, tira un chiffon de son pantalon et essuyant son front. Thomas était torse nu depuis tôt dans la journée, à cause des grandes chaleur. Justement, sa peau reluisait de sueur, en plus de faire voir d'avantage son corps musclé...

-Ça va Akee? demanda-t-il, remettant le chiffon dans son pantalon.

Il alla alors serrer les bras de sa sœur à la manière des chevaliers.

Akeelah gardait les rennes de sa jument entre ses mains, de cette façon, Miguail ne s'enfuierait pas. Quand elle vit Thomas se retourner, elle déglutit. Déjà que la jeune femme n'avait jamais vraiment été à l'aise avec les hommes, elle avait toujours été très timide, de voir Thomas de cette façon, la fit rougire à un tel point, qu'elle en ressentit des chaleurs. Elle posa les yeux au sol, évitant ainsi de voir son «sublime corps...» pensa-t-elle encore plus gêné de simplement l'avoir penser. Selon elle, Thomas était sans doute l'homme le plus beau de tout l'ordre, jusqu'à présent. «Il a une épouse...» se répéta-t-elle, pour tenter de chasser toutes les pensées qui se bousculait dans sa tête.

-Ou-Oui, oui, ça va. Qu'est-ce que vous faites. Pourquoi cette maison? demanda-t-elle curieuse de savoir.

Elle osa un oeil vers Thomas, sans doute réussissait-il a connaître ses pensées le concernant. À cet instant, Akeelah souhaitait disparaitre très loin, beaucoup trop gêné.

Thomas connaissait le caractère d'Akeelah pour l'avoir observer, lorsqu'elle était un peu plus jeune. Elle avait toujours été très timide, mais enfin, à la longue il s'y était fait. Même qu'il trouvait ce petit air très charmeur... Enfin, d'une certaine manière. Il sourit, la regardant, voyant très bien qu'il la mettait terriblement mal à l'aise. Thomas sut même ce quoi elle pensait. Il du se retenir pour ne pas rire, au lieu de cela, il évita de passer tout commentaire, ne voulant aucunement l'intimider d'avantage. Chaque fois, il tentait de la garder normal, il voulait qu'elle le regard dans les yeux plutôt que de regarder ses pieds. Mais bon.

-Cette maison sera mienne dès qu'elle saura terminer. En fait, à Megara, moi et le bébé.

Il sourit de plus belle. Toute la journée, il n'avait pensé qu'à cela et rien d'autre. Non, c'est faux. Il avait aussi pensée à sa sœur. Il trouvait très étrange de la retrouver maintenant, plutôt qu'avant, mais enfin, vaut mieux tard que jamais.

-Tu voulais nous aider? demanda-t-il.

«Bébé?» se demanda Akeelah. Thomas allait être père? Akeelah se sentit soudainement un peu mal. Comme si quelque chose au fond d’elle se déchirait. Elle avait l’impression que… que Thomas venait de lui arracher le cœur. C’est ça! Il l’avait blessé. Déjà que de savoir Thomas marié à une autre femme qu’elle, Akeelah venait de mourir d’amour… Son cœur cessa de battre, l’homme qu’elle aimait n’était plus qu’un simple époux, mais un futur père. Elle baissa les yeux, à nouveau et recula d’un pas. Elle voulait s’éloigné de lui.

-Je… Je… Non… répondit-elle.

En fait, en d’autre circonstance, sûrement qu’elle aurait voulu l’aider, mais maintenant, l’envie n’y était plus. Elle souhaitait plus retourner au château et se retrouver seule à nouveau, pour avaler ses émotions, ou plutôt, les laisser sortir. Elle voulait pleurer toutes les larmes de son corps. Akeelah était si chagriné, qu’elle ne prit même pas la peine de dire au revoir à Thomas, ni même de lui donner la moindre explication, qu’elle monta élégamment sur sa jument et partit au galop, laissant ainsi Thomas patois. Dès qu’elle fut loin devant Thomas, Akeelah éclata en larme, boulversé.

Thomas était assez surprit de la réaction de sa sœur d'arme. Que lui prenait-il? Il savait les sentiments qui grandissait en Akeelah, envers lui, mais elle savait aussi qu'il en aimait une autre et elle devait se faire à cette idée. Mais qu'avait-il dit pour la blessé de la sorte.

-Peut-être le fait que tu allais être père, Thomas.

Thomas tourna la tête pour voir Maiara qui s'adressait à elle.

-Dit-moi, pourquoi n'es-tu pas à Émeraude pour des études de magie?

-Parce que papa ne voulait pas.

Thomas retrouva un air sombre. Étrangement, cela ne l'étonnait pas du tout de savoir que l'homme qui était leur père avait refuser un entraînement spéciale pour sa fille. Thomas évita de passé le moindre commentaire, et préféra retourner à la construction de la maison. Maiara ne parla pas, sachant que Thomas éprouvait une forte haine face à leur père. Elle le suivit plutôt.

[...]

Le soleil était presque couché lorsque enfin les villageois crièrent leur joie. La maison de leur très cher ami était désormais terminé! C'était probablement la plus grande demeure de tout émeraude, mais Thomas voulait quelque chose de beau, confortable et grand pour Megara, et tout était là.

-Je vous remercie tous! Sans vous, je ne serais rien! Merci beaucoup!

Les hommes présent s'avancèrent pour aller serrer la main du chevalier et lui dirent que ce n'était rien. Thomas leur promit cependant qu'en échange, s'ils avaient besoin de quelque chose, eh bien, il serait là pour les aider, tous et chacun. Quand tout le monde fut partit, Thomas retourna au château, où il voulait retrouver sa douce.

Thomas n'allait pas très vite. En fait, il avait décidé de faire marcher tranquillement son cheval, sans aucune presse. Durant ce temps, sans qu'il ne le sache, Maiara était revenu chez son frère, lui réservant une petite surprise. En fait, elle n'était pas seule, elle était accompagné de sa mère et de deux jeunes hommes. Pendant que la mère surveillait, afin que personne ne les voit, Maiara et ses deux amis entraient des objets dans la maison, à trois, ça allait très vite, surtout lorsqu'une disposait les objets et que les autres les entrait.

Après de longues minutes, Thomas arriva enfin sur le petit sentier qui menait à la grande maison qu'il avait terminé de bâtir, dans la soirée. Il fit soudainement arrêter son cheval, sentant la présence de personnes sur son terrain. Heureusement, après une inspection un peu plus approfondit, il découvrit que ces personnes n'avaient aucune intention hostile, au contraire. Arquant un sourcil, il poursuivit son chemin, gardant contre lui Megara.

Lorsqu'ils arrivèrent, quatre personne se dépêchèrent de sortir de la maison, sourire aux lèvres et l'air un tantinet nerveux. Thomas descendit le premier, toujours curieux et aida Megara à descendre. Il se retourna ensuite vers sa mère et sa sœur les regardant curieusement.

-Que faites-vous ici? demanda-t-il finalement.

-Je ne croyais pas que tu allais revenir ce soir, Thomas, fit remarquer Maiara.

-Ah... Mais ça ne me dit pas, ce que vous faites.

-Maman et moi voulions te faire une surprise. Jaake et Jonas sont des jeunes hommes capable de bien maîtriser l'art de sculpter le bois. Et en sachant que tu te bâtissait, aujourd'hui, je leur ai demandé de fabriquer des objets...

Thomas n'avait pas été mis au courant, ce qui le surprenait. Cependant, il était quand même content. Il ne peu s'empêcher alors de sourire.

-Heu... eh bien... Merci, pu-t-il seulement dire.

Il se tourna vers Megara, haussa les épaules, puis décida d'entré, invitant les autres à les suivre.

-Je te préviens, cependant, Thomas, tout n'est pas prêt. Seulement ta chambre à été fait.

Seulement la chambre! C'était tout qui comptait pour le moment.

-C'est parfait! Merci!

Ils approchèrent encore de la maison à deux étages. Ces maisons étaient très rare, mais Thomas avait voulut de l'espace et il l'avait seulement grâce en hauteur. Il avait fait en sorte que les pièces, comme les chambres, se trouve toute en haut. Les pièces du bas allait servir de cuisine, de salle de bain et une pièce de relaxation, où il allait faire installer une bibliothèque. La cours était grande et devait encore être travailler, car Thomas voyait bien l'arrière de la maison, avec un magnifique jardin de fleur. Enfin bon, tout n'était pas encore terminer.

Donc, ils pénétrèrent la nouvelle demeure. L'intérieur était déjà très chaleureux. Thomas avait fait en sorte d'acheter le meilleur bois possible. Quelque chose de solide et assez isolant! Enfin bon. Il fit ensuite passer Megara, pour qu'elle visite d'elle-même. Quoique, Thomas avait bien hâte de voir la chambre.

Repartant avec quelques peu de leurs effets personnels, Thomas fit monter alors Megara sur sa monture repartant vers les terres d'Emeraude. Le destrier obéissit au doigt et à l'oeil à son maitre, le désirant calme et doux pour sa femme. En avant sur la selle, son époux la tenait dans ses bras tout en conduisant vers leur propre domaine. Tout comme lui, à quelques centaines de pas de la maison, la jeune femmme ressentit tout aussi du mouvement et des êtres sur leur terrain, mais ils n'avaient de mauvaises intentions, donc elle resta seraine pour tout le long du voyage jusqu'à ce que le chevalier s'arrete devant sa maison et la fit descendre dans ses bras devant les quelques personnes réunies.

La maison était grande. Une petite écurie était installée tout près et bientot, après avoir défriché les lieux, ils pourraient y faire pousser des graminés. Mais il flalait dire au sujet de la demeure qu'elle était srtout plus haute que les autres habitations, moins que le chateau, mais tout de même. Dans la foullée, Megara put y voir la mère de Thomas et sa soeur qui avaient manigancé le tout. Il fallait dire qu'elle se souvenait beacoup moins de Maiara que d'Isadora à cause de son état lors de la rencontre.

En rentrant, étant à son bras, la jeune maman découvrit alors l'endroit. C'était d'une espace respectable, accueillant et intime à la fois. Ce fut en montant les escaliers qu'elle eut la plus grande surprise, leur chambre y était. Dans un étage s'y trouvaitquelques chambre, celle des maitres, et quelques unes plus petite pour des enfants. Megara était sans mot...

-J'aime tellement..

Thomas devait dire qu'il était aussi curieux que Megara, cependant, lui il avait hâte de voir le travail des amis de sa sœur, dans la chambre. Thomas n'était pas un homme très difficile sur le point décoration, mais une chose l'importait, s'était le confort. S'il trouvait la moindre chose qui allait les mettre mal à l'aise, Thomas se chargerait de le faire savoir.

Donc, derrière Megara, il escalada les quelques marches qui montait au second et dernier étage de la maison. Il attendit que Megara décide d'entré dans leur chambre, avant d'y aller. Toutefois, il était content de voir que tout lui plaisait! Quand ils entrèrent dans la chambre, les yeux de Thomas s'agrandir. Tout était magnifique. Certes, tout n'était pas encore au point, mais déjà un lit reposait au centre de la pièce sur le mur du fond, aux couvertures chaude et douce au touché... Étonnement, cela lui rappela quelque chose. Il se tourna vers sa mère, qui lui sourit! Thomas avait pensé juste! C'était Isadora qui avait confectionné les draps!

Il poursuivit sa découverte, allant vers une commode où le trouvait deux portes sur le haut et deux tiroirs en son bas. C'était plutôt ingénieux, constata Thomas, sourire aux lèvres. Le bois semblait solide et surtout travailler avec beaucoup d'attention. Thomas rejoint sa douce et la pris dans ses bras, la serrant tendrement contre lui.

-Tout est absolument parfait! finit-il par déclarer.

Il se tourna vers les membres de sa famille, alla vers sa mère, lui embrassa le front, fit de même pour sa sœur, puis les remercia de tout cœur. Il leur dit également qu'il était très heureux de les avoir revus et qu'elles pourraient revenir tant qu'elles le voudraient, ce n'était pas un problème.

La chambre était plus espacé et plus organisée que celle au chateau finalement. Ils avaint leur endroit, leur commode, leur lit et tout ce qui venait avec. Pour la naissance du bébé, ils auraient bien le temps de tout meubler et faire en sorte que tout soit pet finalement pour ce temps. Thomas devait toucher à tout c'était évidant. Ouvrant les tiroirs, touchant les draps tandis que Megara regardait la vie par la fenêtre. Elle avait l'impression de vivre une vieun peu plus normale quoi. Mais lorsque son amour vint la prendre dans ses bras, elle sentit dans son coeur une joie qu'elle n'avait que rarement ressentit venant de sa part. Il remercia pour les deux sa mère et sa soeur et lorsqu'elles venaient pour penser à repartir pour les laisser se reposer, la jeune femme eut les yeux qui s'ouvrirent rapidement.

-Ne veux-tu pas leur annoncer la nouvelle?

Dit-elle en regardant celui-ci avec un souire en coin qui piqua alors la curiosité des femmes.

La nouvelle! Oui, c'est vrai. Thomas allait oublié. Maiara avait autorisé aux deux jeunes hommes de partirent, alors qu'elle et leur mère curieuse de connaître cette nouvelle étaient resté. Thomas les regardait un grand sourire au visage. Il jeta un rapide coup d’œil à Megara, puis revint à sa famille pour finalement laisser échapper:

-Nous serons parents!

Ce fut Isadora qui réagit la premier, laissant échapper ce qui semblait un crie, plus doux cependant, de joie. Les deux mains levées vers le ciel, elle remerciait les dieux de lui avoir accordé la vie, afin de connaître un de ses petits enfants! Isadora s'approcha rapidement de Megara et la serra dans ses bras, très affectueusement, lui promettant d'être à ses côtés lorsqu'elle en aurait besoin. Tenant désormais les deux épaules de la jeune femme, elle contemplait son visage rayonnant.

-Vous serrez une mère merveilleuse, ma chère, dit Isadora très sincère.

Puis elle alla devant son fils, tout aussi joyeux, elle l'embrassa sur la joue.

-Et toi, un père extraordinaire, Thomas.

Isadora était sur le bord des larmes, des larmes de joie. C'était une nouvelle merveilleuse que d'apprendre qu'un enfant naîtrait! Elle recula et rejoint Maiara qui était resté un peu plus calme. Elle gardait un sourire très sincère sur ses lèvres et les félicita tous les deux. Elle leur envoya ses plus sincère encouragement et tout comme sa mère l'avait dit avant elle :

-Vous ferrez des parents tout à fait parfait!

Thomas regarda Megara, lui envoyant un petit clin d’œil, puis sourit les remerciant. Thomas aurait voulu que sa mère et sa sœur reste un peu plus longtemps, mais Isadora traîna sa fille à l'extérieur, disant qu'ils avaient besoin de repos, Megara plus que Thomas toutefois.

Quand elles eurent quitté, Thomas se dépêcha de prendre Megara dans ses bras et d'aller la déposer sagement sur le matelas de plus fait juste pour eux. Il s'installa près d'elle, puis:

-Tu vois, tu ferras une maman parfaite, dit-il doucement.

Le chevalier alla finalement l'embrasser avec beaucoup de tendresse, caressant sur même coup son doux visage.

Évidamment ce fut la grande réaction instantanée. Isadora bénie les dieux tout en pleurant de joie. Elle vint prendre sa bru dans ses bras afin de lui faire une chaleureuse accolade, disant qu'ils seraient de bons parents. La cadette parcontre demeura plus sage leur souriant toujours. Peut-être qu'elle l'avait sentit dès l'arrivée de la chevalier en ces terres qui sait. Mais il était heureux de rendre heureux les personnes autour de soi, non? Thomas la serrait tendrement, bras à sa hanche et puis quand sa mère et sa soeur partirent, le chevalier la prit alors dans ses bras, la surprenant pour venir la conduire rapidement ers le lit principal. Il l'obligeait en quelque sorte de se reposer un peu, mais de manière subtile et délicate finalement. Se laissant embrasser tendrement, la jeune femme ne put s'empecher de penser à ses propres parents...

-J'enverrais une missive à mes parents demain... Ils vont être heureux pour nous...

Il délaissa ses lèvres pour l'écouter parlé. En effet, il ne fallait pas oublier beau papa et belle maman! Thomas lui sourit doucement, approuvant ses paroles d'un petit signe de tête.

-Tu retourneras au château demain matin, pendant que moi je terminerai de meubler l'intérieur de la maison. Tu écriras à tes parents!

Thomas aurait bien aimé pouvoir la gardé près d'elle, mais l'ancre, les parchemins, les plumes, mais surtout un bureau manquait ici-dans! Le chevalier roula ensuite sur le lit, pour y sortir de l'autre côté. Il s'assit sur le bord du lit et retira ses bottes, se remit sur ses pieds, puis retira ses vêtements, ne garda qu'un court pantalon, son sous-vêtement en fait. Puis il tira les couvertures, pour alla s'y cacher, se recouvrant ensuite. Thomas s'installa de façon à pouvoir regarder sa belle.

Megara se souvenait, Thomas dans son adolescence. Il n'était pas un être facile, mais dès son changement d'age brutal, de le revoir mintenant plus vieux lui avait fait tout un choc. Elle ne pouvait l'enlever de ses pensées, elle ne pouvit tout simplement penser à autre chose. La lumière qui venait de lui était bin plus forte et malgré sa résistance envers les autres, ele avait été la premiere à lui faire ouvrir son coeur. C'était avec un sourire en coin qu'elle se rappela leur premier baiser presque accidentel ou bien l nuit qu'ils avaient passé ensemble. Elle se souvenait encore du visage de Xénoxa lorsqu'elle les avait trouver.

-Je ne veux pas que la guerre recommence...

Dit-elle finalement, car évidamment qu'il ne la laisserait point partir d'Emeraude, loin du danger et elle avait toujours peur de le perdre. Ce fut donc lorsqu'il le rejoingnit qu'elle se colla à lu et passa ses bras autour de son cou. Elle ne pourrait vivre sans sa présence...

Thomas passa un bras autour d'elle alors qu'elle se collait à lui. Elle ne voulait pas que la guerre recommence et lui non plus ne le désirait pas bien qu'il était né pour ça. La guerre était une partie de lui et sans celle-ci, comment arriverait-il à gérer aussi bien ses émotions? Mais bon, il préféra étreindre sa douce, afin de la soulager, de la calmer. Elle avait besoin de réconfort et encore plus depuis la nouvelle du poupon en route tout au fond d'elle.

-N'ait crainte, Megara. Je te promets de toujours être la pour toi, je ne te laisserai pas aussi facilement...

Et elle devait le savoir. Thomas, s'il ne se battait pas pour le peuple, se battait justement pour Megara. Il souhaitait la paix, pour pouvoir qu'elle soit heureuse elle. Alors il détruirai bien des insectes avant d'y laisser la vie!

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