Zéphyra :: Chevalier D'irianeth

PART ONE

Nom : D'Irianeth.
Prénom : Zéphyra.
Surnom : Zé, Zéphy, Ra, etc. …
Âge : 24 ans.

Histoire : Connaissez-vous l’histoire de Zéphyra Néactazys? Si oui, l’avez-vous trouvez terrible? Si non, lisez et vous comprendrez!

Cette histoire débute au royaume d’Argent. Ikam était un homme aux multiples talents, mais il excellait particulièrement dans l’art de la guerre. Depuis sa tendre enfance, il organisait quelques joutes avec ses amis, la plus part du temps, il en ressortait vainqueur. Lorsqu’il s’agissait du cas contraire, le lendemain, on n’entendait plus parler du « numéro un »! Que s’était-il réellement passé? Personne ne le savait, au bouleversement de tous.

Chez Amély-Ann, cette femme resplendissante était une jeune érudite. Et même si ses parents ne lui avaient pas permit de prendre des cours avec le magicien du village, elle avait tout de même trouver un moyen quelconque d’apprendre. Elle savait lire, écrire et aussi, calculer! Étonnant pour une simple paysanne, n’ayant que très peu d’argent. Mais Amély-Ann gardait un petit secret, qui pouvait peut-être être la réponse au questionnement de ses parents…

Alors que les années passèrent, Amély-Ann fut finalement en âge de trouver époux. Et comme la tradition l’exigeait dans sa famille, s’était la mère qui devait trouver l’homme idéale pour sa fille chérie. Combien de concurrent y eut-il? Amély-Ann était bien sûr une femme à courtisé, avec ses magnifiques boucles blonde et ses yeux azures. Elle n’était que beauté. Donc ; Combien? Un? Deux? Trois? Non! Bien plus que cela! Beaucoup d’homme s’était ajouter à la liste de la mère de Amély-‘. Vraiment beaucoup. Et il est sans doute inutile de vous dire qu’Ikam fut l’un des participants, n’est-ce pas? Et suis-je obliger également de vous spécifier qu’il remporta le cœur de la pauvre Amély-Ann qui ne désirait point prendre époux? Mais quand même je vais vous expliquer, ce qui s’est réellement passé…

Onze hommes s’étaient alors proposé. Onze! Le croyez-vous? Eh bien, c’était bel et bien le cas. Chacun passèrent une journée complète avec la mère d’Amély-‘, Thïa. Tous semblèrent très sympathique et tous auraient été un bon partis pour sa fille. Mais l’un d’eux finit par accrocher plus que les autres : Ikam. Il avait offert à Thïa une agréable journée. Ils s’étaient promener à dos de cheval, alors que la mère lui posait des questions :

-Avez-vous trouvé un emploi, Ikam?

-Bien sûr, madame. Je fais partis de la garde royale. Présentement, je n’ai qu’un poste mineur, mais je tiens à vous dire que l’un de mes buts serait de défendre le roi en personne! Pas seulement de monter la garde.

Elle avait sourit. Ceci lui plaisait bien. Contrairement à beaucoup d’autre, Ikam avait un bon emploi, bien payé. Il pourrait subvenir au besoin de sa fille et de la famille qu’il allait s’en suivre. Mais il n’y avait pas que cela! Il pourrait aussi défendre Amély-Ann et leurs enfants! C’était déjà un point de plus pour Thïa.

-Et entendez-vous avoir des enfants? Avait-elle poursuivit.

-Certainement! Si je prend épouse, ce n’est pas que pour avoir l’air d’un bon homme. Mais pour avoir une famille, expliquait-il.

Ceci aussi fit sourire Thïa. Il désirait des enfants! Elle pourrait donc être grand-mère! Mais en plus, Thïa adorait la façon dont parlait Ikam. Il ne semblait pas timide du tout. Il était ferme dans ses réponse, ce qui était vraiment parfait. Il allait être aussi ferme avec les enfants et allait donc ainsi pouvoir bien les tenirs.

Donc, la journée se déroula très bien. Au retour à la maison, Thïa surprit sa fille, encore une fois, le nez plongé dans un livre d’histoire poussiéreux. La mère n’avait pas prit de temps pour le lui retirer et le jeter au feu. Amély-Ann insulter cracha au visage de sa mère, lui criant des bêtises. Très en colère, elle voulut retourner à sa chambre, mais bien avant qu’elle puisse s’y rendre, elle reçu une horrible gifle au visage.

-Tu vas me parler sur un autre ton, jeune fille! N’oublie pas que lorsque tu auras époux, tu devras te dévouer entièrement à lui. Tu n’auras plus de temps pour lire! Alors vaut mieux que tu t’y habitus tout de suite! L’avait alors engueulé sa mère.

Toujours aussi furieuse, Amély-Ann avait prit la porte, préférant aller se défouler dans les bois, plutôt que des rester là. Elle passa tout le reste de la soirée à se promener sur les chantiers. Elle aurait tellement adoré ne plus revenir chez elle, de resté ici, à l’abri de tous les misérables défauts de la vie. Mais ce ne fut pas ainsi…

Une lune plus tard, Amély-Ann se trouvait au bras d’un homme que l’on nommait Ikam. Bien sûr, Amély-Ann avait tout entendu les dires à son sujet. Il était un meurtrier. Il ne perdait aucune chance de mettre à mort celui qui se croyait plus fort que lui. Les joutes de son enfance étaient devenus des tueries! Mais, aux yeux de sa pimbêche de mère, il restait l’homme parfait pour sa fille, sans doute à cause de son autorité! Il saurait la tenir correctement et la faire obéir.

À peine étaient-il tous deux emménagé dans une chaude chaumière qu’Amély-Ann apprit qu’elle attendait son premier enfant. Elle ne voyait presque pas son époux qui était sans cesse au château. Il ne savait que faire ça. Travailler! Ou sinon, il allait dans les tavernes, pour boire un coup et revenait que très tard le soir. Amély-Ann faisait toujours semblant de dormir. Elle détestait le voir ivre. Non seulement il puait, mais elle le sentait sale, comme s’il avait découché. Elle craignait que son mari est trouvé maîtresse. Bien que d’un autre sens, ça lui plaisait, il ne l’achalait pas trop sur le point sexuelle. Enfin.

Neuf lunes passèrent. Voilà qu’une petite fille montrait le bout de son nez : Zéphyra. Belle comme tout! Sa mère était choyé de cette petite pouponne qui serait sans doute la seule chose qu’elle aimerait dans sa vie. Amély-Ann était une bonne mère, dévoué à son enfant. N’ayant que très peu de contact avec Ikam ces derniers temps, elle ne demandait qu’à s’occuper de cette petite perle aux yeux et à la chevelure sombre. C’était sans doute la seule chose qu’elle tenait de son père, mais cela ne fit absolument rien à Amély-‘ qui la trouvait adorable malgré tout.

Malheureusement, la vie d’Amély-Ann s’acheva plus tôt que prévu… Comme bien des soirs, Ikam revint de la taverne, saoul mort! Au moment même où il posa un pied dans la maison, il se mit à crier à tut tête! La petite Zéphyra paniquée, s’était vite mise à pleurer. Amély-Ann qui ne dormait pas, s’empressa d’allé retrouver à petite, maintenant âgé d’un an. Elle berça l’enfant dans ses bras, rejoignant Ikam qui chancelait dans la cuisine à la recherche d’une quelconque chose.

-Ikam, tait-toi, s’il te plaît. Tu vas réveiller tout le monde.

-Tait-toi, femme! Où est la bière?

-Nous n’en avons pas… dit-elle tout en chuchotant et continuant de bercer l’enfant.

-Quoi?!! S’était-il exclamer, l’air horriblement furieux. C’est cette enfant! C’est elle qui a tout prit!

Il s’approcha dangereusement de Zéphyra, alors que Amély-Ann reculait pour l’empêcher de prendre sa fille.

-Arrête, Ikam! Tu me fais peur! Je t’en pris, arrête!

Il lui arracha subitement la bambine des mains. Amély-Ann se mit alors à pleurer, tentant de rattraper la petite, mais Ikam la souleva au bout de ses bras se mettant sauvagement à la brasser, comme si elle n’était qu’une poupée de chiffon. La mère en pleure criait de lâcher la petite qui pleurait de plus en plus. S’il n’arrêtait pas, il risquait de tuer leur enfant unique! Amély-Ann regarda rapidement autour d’elle, à la recherche d’une solution. La seule chose qu’elle trouva, s’était un vase qu’elle avait reçu en cadeau, lors de son union. Elle alla alors le fracasser sur la tête de son époux qui perdit l’équilibre. Le bébé tomba durement sur le sol et en moins de deux, Amély-‘ la reprit dans ses bras, regardant son époux tomber sur ses genoux. La mère alla vite porter la pouponne dans son berceau, où elle serait plus en sécurité, puis revint à son mari qui s’était relevé.

-Arrête, Ikam! Rugit-elle. Tu vas nous faire honte! Déjà que tu reviens tous les soirs saoul, tu n’as pas besoin de causé plus de tord à notre famille, à notre réputation.

-C’est toi?! C’est ta faute si j’en suis là!

-Pourquoi?

-Tu as vu un autre homme. Je le sais, Kaï me là dit. Il ma dit que Zéphyra était sa fille, pas la mienne! Cracha-t-il.

-C’est faux! Comment as-tu pu croire une telle chose!

-C’est mon meilleur ami.

Amély-Ann voulu répliquer, mais elle n’en eue point le temps. Elle sentit la lame de la dague de son époux traverser son abdomen. Elle regarda la main d’Ikam sur le manche déjà recouvert de sang, puis plongea son regard dans celui de ce dernier.

-Occupe-toi de Zéphyra… supplia-t-elle du regard, avant que ses beaux yeux azures ne se ferme.

Réalisant soudainement son geste, Ikam savait qu’il devait vite faire disparaître toute preuve qui pourrait l’accusé. Il devait faire mettre tout ceci sur un « kidnapping », ou une fuque. N’importe quoi, sauf un meurtre commit par sa propre main. Il fit alors disparaître le corps de la jeune femme dans l’océan, se disant que les créatures sous-marines allaient se charger du reste…

Les jours qui suivirent lui furent moins pénible. Il resta sage un certain temps, faisant à croire sa peine et il s’occupa de sa fille comme il se devait de le faire. Mais un mois, ou deux s’étaient écoulé, qu’il reprenait ses fâcheuse habitude. Il n’y aurait pu avoir père plus indigne que lui! Il laissait sa fille seule le soir, très tard, alors que lui allait boire. Il revenait, faisait subir des atrocités de tous les genres à sa fille unique. Il pouvait la frapper sans raison, il pouvait profiter de son petit corps. Des choses tout simplement impensable. Si au moins quelqu’un aurait pu être mit au courant…

Zéphyra avait atteint ses neuf ans. Elle avait vite apprit à être mature, puisqu’elle s’occupait d’elle-même. Le soir, lorsque son père revenait, elle savait que trop bien ce qui l’attendait. Mais ce soir là, ce fut pire que les autres. Ikam entra dans sa chambre, elle, elle tentait de faire semblant de dormir, mais son corps tremblait comme une feuille à l’automne. Un cria traversa alors ses lèvres gercées ; son père venait de la frapper directement dans le dos avec un objet très dure. Des larmes silencieuses se mirent à couler sur ses petites joues rouges vives.

-Voilà pour tes neufs années de vie, lui annonça-t-il la voix lourde.

Puis un autre coup. La petite serra les dents, ne voulant pas encore crier. Elle ne voulait pas alerter le village entier, elle savait que sans cela, ça serait beaucoup plus pire. Dire qu’elle subissait tout ça depuis exactement neufs ans aujourd’hui. Son petit cœur battait très fort dans sa poitrine. Elle avait du mal à respirer. Il faut aussi dire qu’Ikam ne la négligeait pas. Ses petites côtes endoloris lui donnait un mal fou à respirer. Lorsqu’elle arrivait à prendre une bonne inspiration, elle était vite coupé par la douleur.

Le bâton devint alors l’objet de martyre préféré du papa! Tous les soirs, sinon, plus d’une fois par sept jours, laissant le temps aux plaies de se cicatriser, avant de revenir en force. Pourquoi faisait-il tout ça? Parce qu’il était né ainsi. Depuis qu’il était tout petit, il avait soif de sang. S’il ne trouvait personne avec qui se battre, ou s’il ne trouvait pas une personne à assassiner, il se défoulait sur sa fille. Comme si la voir souffrir lui offrait jouissance! C’était pour lui quelque chose de tout à fait naturel, aussi bête cela puise être.

Malheureusement, Zéphyra n’endura pas cela encore très longtemps. Elle atteignait bientôt ses douze ans, alors qu’elle se décida enfin à faire quelque chose. Toute sa vie, tout le monde avait ignorer ses souffrances. Malgré le fait qu’ils l’aient tous vu avec ses plaies, son visage recouvert de sang séché, enfin, une haine grandissait en son fort intérieur. «Je vais me venger un de ses jours! Je le jure!» Elle voulait mettre à mort tout ceux qui aurait pu l’aider, mais qui au lieu de cela, ignorait!

C’est donc à l’aube de ses douze ans que tout se passa. Elle n’avait pas dormit de la nuit, attendant l’arriver de son très cher papa. Elle allait pour une fois lui tenir tête, elle était déjà prête, elle savait ce qui lui restait à faire. Lorsque ce dernier franchit la porte de la demeure, elle l’attendait. Ses yeux brillait de rage. Elle était sur le bord de la folie! Elle sortit un petit poignard derrière son dos, le brandissant devant son père!

-C’est assez, c’est toi qui va souffrir… Papa… lui dit-elle la voix glacée.

Voyant l’arme blanche à la main de sa fille, Ikam sortit sa propre épée. Il n’allait pas lui laisser de chance. Zéphyra fit un arc autour de lui, et Ikam en fit tout autant, remarquant que sa fille connaissait une façon bien simple d’attaquer. Mais contrairement à ce quoi il s’attendait, sa fille prit un élan et sortit de la demeure. Étonné, son père en fit tout autant, surtout pour lui faire regretter son geste. Ils coururent jusqu’à l’Océan. Là, Ikam remarqua une petite embarcation improvisé… S’était sa fille qui avait fait ça? Elle avait sans doute les connaissances de sa mère pour arriver à construire une telle chose. Bien que petite, elle soit, elle était drôlement bien construite.

-Il y a quelque chose que je t’ai caché, papa…

Elle fit signe à Ikam de regarder derrière lui. Une pierre de la taille, peut-être d’un furet, s’approchait rapidement de lui. Il se jeta tout de suite sur le côté, s’apercevant que sa fille détenait des pouvoirs assez étonnant. Heureusement la pierre ne lui fit aucun dommage. Sa fille par contre, crut qu’elle aurait probablement réussit à le touché de cette manière. Seulement, n’ayant pas réussit, elle avait prit un bonne partit de son énergie. Pour ne pas avoir plus longtemps affaire à son père, elle se précipita vers le petit radeau improvisé, mais avant qu’elle ne l’atteigne, son père se rua sur elle, Zéphyra tomba face première dans le sable humide. Elle sentit la lame du poignard de son père lui trancher une petite parcelle de peau, ce qui la fit serrer les dents. Elle se débattit sauvagement pour retrouver sa liberté, mais son père était beaucoup plus lourd qu’elle. C’est certainement grâce à sa folie qu’elle réussit à se libéré. Son père en eut presque peur. Les yeux de sa fille… Il était effrayé. Il ne demanda pas plus à voir qu’il s’enfuit… Mais à peine avait-il fait un mètre, que la même lame qui avait mis à mort sa mère, traversa ses côtes… Épuisé, Zéphyra embarqua sur le radeau, le poussa et se laissa dériver, sans savoir où cela allait la conduire.

C’est de cette manière qu’elle se retrouva de l’autre côté de l’Océan, après des jours et des jours de dérivation. Le radeau accosta enfin sur la rive… Mais Zéphyra, tellement épuisé, fatigué et affamé, était inconsciente. À son réveille, elle s’étonna de retrouver sous elle un lit, dur, mais il était là. Elle se redressa faiblement, pour voir un léger éclairage. La jeune enfant continua son inspection des lieux, pour finalement voir un écuelle, à l’intérieur semblait reposer de la viande fraîche. Cuite pas cuite, bonne pas bonne, l’enfant s’élança dessus pour le dévorer.

-Ne mange pas trop vite… fit alors une fois.

Zéphy sursauta, lâchant du même fait la nourriture, puis regarda autour d’elle sans apercevoir qui que ce soit. Toujours sur ses gardes, elle continuait de chercher qui pouvait bien se trouver là. Puis un être s’approcha, se dégageant de la noirceur qui l’avait caché. Effrayé, Zéphyra recula, jusqu’à être dos contre le mur. Mais on la rassura bien vite. Le sorcier lui offrit quelques victuailles, pour satisfaire son petit estomac, pour ensuite lui expliquer qu’il l’avait retrouvé, ici, sur Irianeth. Zéphyra ne connaissait pas cet endroit, mais elle sentait qu’elle allait s’y plaire, surtout après ce qu’on lui avait apprit ensuite. Les insectes et les hybrides de ce clan, préparait une guerre aux humains de l’autre continent. Dès ces mots dit, les petits yeux sombre de Zéphyra s’illuminèrent, et un sourire malsain s’afficha sur ses lèvres craquelées. On lui offrait la chance qu’elle voulait tant prendre!

C’est dès cet instant qu’elle entreprit un entraînement ardu. Elle ne parla pas, mais écoutait. «Esclaves humains! À mort ceux qui oseront résister!» se répétait-elle. Bien qu’elle, elle aurait sans doute préféré les voir tous mourir les uns après les autres, mais bon. Ce n’était pas elle qui prenait les véritables décisions. Bien qu’elle entendait mettre ses règles à elle, le moment venu. En plus de son entraînement, on décida de lui offrir un présent inestimable : devenir hybride. On lui fit alors boire du sang d’insecte, l’empoisonnent ainsi, mais ceci lui permit de pouvoir être relié à la collectivité.

Vingt-quatre ans et toutes ses dents, voilà où en est Zéphyra. Prête à se battre et prendre sa vengeance! Elle n’attend plus que l’ordre de se rendre de l’autre côté et voilà, le tour est joué!

Caractère : Elle délire! Folle elle est, folle elle restera! Elle a subit tellement d’atrocité durant son enfance… Elle a été si troublé, que voilà! Elle à perdu la raison. C’est la colère véritable qui l’habite! La haine! La vengeance. Elle n’a que ça en tête. Elle veut avoir la peau de ceux qui l’on méprisé, ceux qui lui on toujours voulu du mal. Et pour arrivé à ces fins, elle doit obéir à des bestioles qui l’ont tout autant méprisé que les autres. Cependant, elle craint d’avantage ces êtres étranges à ceux qu’elle a eue côtoyé durant quelques années de sa vie. Bref. Rien ne l’habite vraiment. Elle n’est que l’Ombre d’elle-même. Elle ne parlera pas pour rien, mais seulement pour le nécessaire. Son sourire… On ne le verra que lorsqu’elle le voudra vraiment. Elle n’agira que si elle en croit le besoin. Voilà ce qu’elle est ; Elle vit selon ses règles, pas ceux des autres! +Elle peut toujours changer de caractère a un moment ou un autre...+


Physique : Zéphyra aurait sans doute pu devenir une femme magnifique, mais les Dieux en ont décidé autrement. Sa peau n’est pas aussi douce qu’elle l’aurait pu l’être. Cependant, elle garde une couleur sablé, malgré qu’elle soit énormément marqué. Des cicatrices vivent sur son corps depuis son enfance. Ses yeux, presque noir, exprime la colère, allant presque jusqu’à déliré. Zéphyra à perdu la raison, il y a très longtemps de cela. Ses lèvres qui en temps normal aurait du être délicates et brillantes, sont desséché et craquelé. Elle est de grandeur moyenne, plutôt bâtit pour une femme. Ses cheveux brun, très longs, c’est sans doute la seule chose à laquelle elle fait réellement attention. Tous les jours, elle prend le temps de bien les brosser, de les laver. Bref, elle fait le nécessaire, pour qu’ils restent propre et soyeux. En gros, Zéphyra n’est pas une beauté fatale et ne cherche pas du tout à l’être.

Pouvoirs:
-Relié à la Collectivité.
-Cocon régénérateur.
-Rayons noirs. (Rayon frappant son adversaire, lui enlevant une partie de sa force vitale, l'affaiblissant de beaucoup)
-Empoisonnement. (Au contacte, une personne pourra faire boire, a son adversaire, son propre sang, soit pour le rendre grandement malade, ou bien pour le rendre moitié insecte)
-Lévitation, héritage de sa mère.


+Armes: Deux épées qu’elle garde soigneusement dans des étuis rangés dans son dos. Un fouet de cuivre (tout le long, jusqu'au manche, le fouet est recouvert de petit éclat d'argent très trachant, il y a également une petite lame à la pointe ( Vous pouvez imaginé le fouet, un peu comme la tige d'une rose, très épinée)), attaché à sa ceinture, et une dague également attaché là.

Fonction : Chevalier Noir.