Antoine sorti du château en fulminant tout d’un coup, il entendit quelqu’un l’appeler. Il se tourna et se retrouva face à un groupe de soldat, environ six.
- Qu’est-ce que vous voulez?
- Tu en as assez de Sidan?
Il se préparait à dire que non mais ça l’étonnait qu’on lui demande ça, quelque chose n’allait pas, vraiment pas.
- Pourquoi?
- Réponds d’abord
- D’accord, oui j’en ai assez.
- Tu voudrais peut-être te joindre à nous pour s’en débarrasser?
- Vous voulez le tuer?
- Pas si fort…lui et les autres, on ne veut pas de cette famille sur le trône.
- Et les enfants?
- Ce sera facile de les faire disparaître
- Mais…
- Tu es avec nous?
- Non!
Antoine aurait du continuer à mentir mais ça avait été un réflexe, il ne ferait pas de mal à son cousin et à sa famille surtout pas aux enfants même si il ne les aimait pas beaucoup.
Les autres soldats ne le prirent pas très bien. L’un deux réussi à saisir l’épée d’Antoine et l’enfonça dans le ventre du soldat qui était à sa droite. Celui-ci s’effondra d’un coup, sans vie. Le coupable lança alors l’épée à Antoine qui eu le réflexe de l’attraper puis tous ceux présents se mirent à crier comme pour sonner l’alarme. Toine allait vraiment avoir des problèmes. Il y avait un mort devant lui, son épée qu’il avait entre les mains était tâchée de son sang et d’autres soldats qui ne devaient pas être mêlé à ce complot arrivaient de tout les côtés.
C’est comme ça qu’Antoine se retrouva emprisonné. Les soldats jugeaient le roi trop occupé pour porter attention à cette affaire pour le moment. Toine était assit dans le fond de la cellule, il n’arrivait toujours pas à croire ce qui venait d’arriver, personne ne le croirait. Si il échappait à la mort pour ça il aurait de la chance. En plus, Sid ne l’écouterait sûrement pas, qu’allait-il arriver à la famille royale si personne ne l’écoutait? Il pourrait en parler à Danilda mais déjà elle avait du découvrir ses nombreuses aventures et elle pouvait lui en vouloir à mort, il était fichu…non, ils étaient fichu.
Il devait sortir de là et vite! Comment pouvait-il? Il commença par se leverpour s'approcher des barreaux. Un coup de chance innée, le garde s'approcha et Toine pu l'assomer d'un coup bien placer. Il n'avait aucunement envie de faire ça mais il le devait. S'étirant le bras, il atteignit les clefs et ouvrit la porte de la cellule pour partir en courant.