Après la bataille...

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Arès Océlus, l'assassin d'Irianeth et un Chevalier Noir se trouvait encore, quelques secondes plus tôt, sur Enkidiev, plus précisément au Château d'Émeraude. Il s'était battu avec plusieurs Chevaliers d'Émeraude, ces petits abrutits invertébrés mais n'avait pas été capable de les assassiner, tout comme ses congénaires d'ailleurs. C'est à dire qu'ils étaient plus puissants qu'on ne l'avait imaginé même s'ils restaient toujours des écervelés pour Océlus. La prochaine fois, il les massacrerait un par un et ils regretteraient d'être de ce monde. Par contre, il avait tué plusieurs paysans qui rapportaient et qui représentaient beaucoup pour le village. Puis, il s'était volatilisé et, en un quart de seconde, il s'était retrouvé sur le continent rocailleux qu'il connaissait comme sa poche. Effectivement, il s'agissait d'Irianeth.

Un peu confus au départ, il se demanda comment il était arrivé à cet endroit puis il ne tarda pas le comprendre. Il haussa les épaules et gagna son alvéole, prêt à retourner sur ce continent. Par contre, il ne se débarrassa pas de son armure et de ses armes qui ne le quittaient jamais. Maintenant, il savait à quoi s'en tenir et personne ne l'avait remarqué. Il connaissait les visages des Chevaliers d'Émeraude, à présent, mais eux ne connaissaient pas son visage. C'était tout ce qui importait. Ainsi, Arès Océlus pouvait se fondre à la foule et dès qu'il verrait un de ces enfouarrés, il les zigouillerait, après les avoir torturés, bien évidemment. Mais il attendrait. Il possédait cette qualité peu commune chez les gens d'Irianeth et, il faut l'avouer, même chez les gens d'Enkidiev: la patience.

D'une allure assurée et déterminée, il se dirigea à l'endroit où quelques Chevaliers Noirs s'étaient rassemblés. Il vit aussitôt Solaris, une des seuls Chevaliers qu'il était capable de supporter. Il s'approcha de la jeune femme puis lui demanda d'un ton à glacer le sang:

- La bataille s'est bien déroulée de ton côté?

Il prit appui sur un mur de pierre, attendant une réponse.

Après la bataille... Arsoclus0hk8

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Le cours des événements déboucha finalement sur une conclusion inattendue, prenant un virage imprédictible. Tentant d'accomplir l'ordre que lui avait sèchement dicté son Chef, Solaris s'était exécutée, telle un fluide courant d'air, bondissant souplement vers l'avant, en faisant attention de ne pas perturber le champs de vision de sa victime, histoire de la surprendre, de la finir en un coup de lame. Mais voilà : au lieu de cela, elle avait eu affaire à deux immortelles. Dire que ces vauriens avaient eu besoin de l'aide de forces nettement supérieures à la leur pour se sortir du pétrin. Ces lâches... Voilà donc qu'en un temps deux mouvements, l'élégante Chevalière Noire s'était retrouvée à Irianeth, balayée d'Enkidiev comme l'on balayait les saletées du plancher, nettoyée, n'ayant pas même la chance de riposter. Les immortels s'en mêlaient donc... Contrairement à d'autres, Solaris avait tout suivi, tout compris. Faisant un bref bilan des événements dans sa tête, elle put rapidement déduire le vrai gagnant de cette bataille : Emeraude.

En effet, en plus de la mort d'un de ses confrères et de la capture de Séliana, mi-rivale de la jolie Solaris, en quelque sorte, il y avait eu parmi eux une traîtresse, tout ce temps, une misérable enfant qui n'avait rêvé que de rejoindre ses amis, sa famille, contemplant la vaste étendue sombre qui la séparait de son pitoyable royaume. Eimy, elle et ses sentiments...Qu'elle aille au diable! Solaris avait pitié d'elle, mais en même temps elle était enfin débarassée de cet inutile encombrement : tout l'Ordre en était débarassé. Certains chevaliers avaient déjà deviné ses intentions, une fois qu'Eimy s'était retrouvée à Irianeth. Et ils ne s'étaient pas trompé. Rêche et revêche de nature, Solaris avait été blessée à l'orgueil après cette amère défaite. Et toutes les raisons avaient un dénominateur commun...

Bientôt Arès vint la rejoindre, et elle lui remit par son regard le poids de sa déception.Elle le comprennait, et elle espérait que ce soit de même pour lui. Isolés du restant du groupe, personne ne les entendait. Arès trancha.

- Non, c'était terrible... Pas un seul mort, aucun gravement blessé... C'était la pire défaite de l'histoire...

Croisant les bras sur sa poitrine, les yeux de Solaris quittèrent le regard du jeune homme, fixant un vide quelconque. Derrière son masque, elle mordillait sa lèvre nerveusement, rageusement...

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Quand Arès Océlus rejoignit la délicieuse Solaris, celle-ci lui offrit un regard dense, massif de déception. Arès Océlus la dérypta très facilement. Il faut dire qu'avec ce regard, n'importe quel dégénéré aurait pu la comprendre. Ces avortons avaient réussi à prendre des leurs. Solaris répliqua:

- Non, c'était terrible... Pas un seul mort, aucun gravement blessé... C'était la pire défaite de l'histoire...

La jeune femme croisa les bras contre sa poitrine. Puis ses yeux se perdirent dans le vide. D'un coup, le désappointement de la jolie Solaris cessa de transpercer Arès Océlus. Le Chevalier qui se tenait devant lui semblait troublée. Océlus était du même avis qu'elle.

- Effectivement, c'est une énorme défaite. Mais on aura droit à une revanche. Et les représailles se trouveront colossales, se délecta l'assassin d'Irianeth.

Il songea à la défaite d'Irianeth, puis, à la future défaite d'Enkidiev.

- Cette fois, nous serons préparés. Et nous vaincrons ces piteux tocards. Ces vantards mourront un par un, ajouta-t-il.

Puis il replaça sa cape sur son front avec agacement car elle venait de glisser sur ses épaules.

- Il nous faut un plan d'attaque. Et j'ai pensé que tu aurais ta place dans mon équipe. Avec deux ou trois autres personnes. Je recrute les meilleurs car il y a plusieurs vauriens, sur ce continent, qui ralentissent les exécutions...

Et Arès Océlus se tut, attendant avec patience une réponse de la part de Solaris.

Chevalier noir Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 10/05/2008

Yahuda Sicarius Damian restait dans l'ombre, à penser à la bataille qui venait de se dérouler devant ses yeux. Il faisait un bilan. Ces minables chevaliers s'en étaient sortis vivants. Il y avait eu un mort de leur côté. Les vauriens avait eu besoin de l'aide d'une immortelle qui avait tenté de s'attaquer à Solaris et d'une autre Immortelle qui les avait ramené sur Irianeth. Cette fois, les Chevaliers d'Émeraude avaient gagné la bataille mais Yahuda ne leur laisserait aucune chance la prochaine fois.

Sur Enkidiev, le traitre avait reconnu le paysage. Ce continent possédait une verdure incroyable. Toutefois, Yahuda préférait Irianeth, un continent rocailleux où régnait le mal. Il trouvait que les Chevaliers d'Émeraude, en agissant pur le bien, étaient bien imbécils.

Le jeune Sicarius poussa un soupire de rage et sortit de ses pensées. C'est à ce moment qu'il remarqua qu'il n'était pas seul dans l'alvéole. Solaris s'y trouvait. Les yeux rouges du traitre se posa sur Arès Océlus qui venait d'entrer dans l'alvéole. Yahuda le vit s'approcher de la jeune femme et il écouta discrètement leur conversation.

Comme ça, Arès Océlus avait un plan. Il recrutait les meilleurs. L'assassin n'aimait pas l'admettre mais il pensa que Océlus avait bien raison.

D'un geste lent mais ferme, le Chevalier Noir se leva et marcha vers la femme âgée de dix-neuf ans ainsi que l'homme qui avait le même âge que lui. Il annonça d'un ton sec:

- Tu veux créer une équipe, assassin. Tu cherches les meilleurs à ce que je viens d'entendre. Tu as bien raison, je dois l'admettre. Il y a plusieurs incompétants qui ralentissent les exécutions, comme cette folle qui a rejoint les Chevaliers d'Émeraude. Mais je crois avoir un plan. Et si tu cherches les meilleurs, j'en fais partie!

Il faisait les cent pas sans s'en rendre bien compte. Mais ses yeux perçants lançaient toujours des éclairs dans ceux des deux Chevaliers Noirs. Il avait sit cela sur un ton déterminé.

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Revanche, revanche... Ce si grand mot qui revenait souvent à la bouche des Chevaliers Noirs, ce mot qu'ils crachaient tous tel un réconfort que l'on se répétait pour se rassurer, se dire que la défaite n'est qu'un échauffement. Oui, tous voulaient prouver contraire au destin, retourner la situation, prendre le dessus... Mais à chaque fois, ils obtenaient le même résultat : et à chaque fois, ils cherchaient à obtenir revanche. C'est ce que Solaris appelait de l'hypocrisie envers soi-même, de se convaincre, d'obtenir toute la conviction du monde, que l'on est meilleur, que l'on est plus fort : d'avoir ce feu qui brûle en nous, qui nous anime, qui nous pousse à atteindre ce sommet, cet objectif. Et puis qu'à la fin, on baisse les bras, on perde pitoyablement de vue l'objectif qu'on s'était fixé. Solaris en était dégoûtée à n'en vomir...

C'était toujours la même chose. Ca faisait pitié. Vraiment trop pitié. L'élégante demoiselle baissa sur son cou l'achalant masque qui discimulait grande partie de son visage, relevant ses soyeux cheveux noir ébaine vers l'arrière. S'appuyant à son tour sur le mur de pierre, elle battit brusquement des paupières au deuxième commentaire de son prochain. A nouveau, il avait pris parole, et cette fois-ci, Solaris devina que derrière cette conversation se cachait une cause bien plus importante encore...

-Une équipe...? Tu recrutes, maintenant...? Cher ami, il y a quelque chose que tu ne me dis pas...

Ayant l'intention de poursuivre sa phrase, Solaris s'abstint rapidement, alors que Yahuda fit son arrivée, attirant l'attention des deux conversants de sa rauque voix percante. Il avait écouté la conversation, et avait remis les faits d'Arès sur la table, confirmant le fait que ce dernier faisait une équipe, et que celui-ci voulait en faire parti. Solaris plissa légèrement des yeux.

-Comptez-moi aussi..., trancha-t-elle à son tour, sans vraiment comprendre la totalité des faits.

La main poser sur mon arme et Kamentari à mes cotés qui serra la poigner de son arme fermement. Je me suis avancer derrière les rocher pour distinguer la présence de Solaris et de Yahuda. Yahuda est un petit comique. Toujours sur de faire plus fort que moi même. Toujours sur d'être l'homme de la situation. POurtant, l'empereur m'avait choisi moi et pas lui. Je trouvais sa dommage que ce chevalier noir aimait pas les déscisions que je prenaient, puisqu'il est toute un guerrier sur la terre forme. Il mani l'épée aussi bien que moi.

Puis, quand Solaris lui disa qu'elle aussi viendrait dans la petite nouvelle clic que Yahuda voulait faire. J'ai sourit narquoisement puis je me suis avancer. Puis je me suis pointer en avant des deux chevaliers en compagnie de Kamentari. J'avais les deux bras croiser et je regardais les deux chevaliers noir avec ce même sourire.

- Si vous voulez vous partir une petite clique, ou quoi que ce soit. Sachez que je veux pas vous voir sur Irianeht et n'y devant mon visage. Si vous êtes ici, s'est que vous vous battez pour l'empereur. Et quand l'empereur n'est pas là, s'est moi qui prend les commandes. Donc s'est soit que vous rester tranquillement ici à m'écouter, soit que vous quitter Irianeht et qu'on vous tue plus tards. Ou bien, vous restez ici et on vous tue.

J'était sèche, et sérieux. Par contre, j'était décu de Solaris d'avoir pris cette déscision. Même si par tout les moyens je l'est laisserais pas partir de cette îles tant que je l'ai aurait pas tuer.

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Solaris était une très belle jeune femme, vraiment très belle. Tout simplement humaine, pure, jolie, aux formes généreuses, au regard intense, hypnotisant. Il n'y avait rien de plus ravissant que son habituelle posture hautaine, sa grande mèche noire qui tombait avec élégance sur son visage, prenant une courbe pour cacher un peu de son oeil droit. Jamais, dans l'esprit de personne, je vous assure, il n'est concevable de voir une si grande élégance, une si belle femme, marquée si bien par la colère, que ses traits s'altéraient, pour qu'elle devienne terrifiante. Eh bien, cette situation allait bientôt se dérouler, sous les yeux des gens qui lui étaient le plus proche...

Posant une main sur sa hanche, Solaris remit son masque en place de l'autre, histoire d'habitude, de réconfort : étrangement, sans son masque, elle se sentait comme toute nue. Puis la conversation du trio se poursuivit, durant laquelle elle eût un air délassé, distrait. Elle avait, à l'avance, senti la présence de deux intrus, et elle connaîssait leurs intentions. Restant très zen, faisant preuve d'un calme, d'une sérénité qui la rendit plus belle encore, Solaris n'était pas surprise de l'arrivée du Chef, mais ses paroles la mirent dans une si grande colère. Elle devint la rage incarnée, alors que ses traits s'altérèrent, donnant place à une furie, une frustrée, une enragée.

Comment osait-il? Comment osait-il lui annoncer qu'elle n'était pas la fille qu'il espérait, pour ensuite baragouiner avec une autre, leur faire perdre la bataille...et...et oser les menacer, tous les trois... Oser les menacer, de mort! Sans connaître toute l'histoire. Pour une chose, Solaris n'avait aucune idée des intentions de ses deux confrères, elle n'en avait strictement AUCUNE idée, mais Terebnor venait de confirmer ses doutes.

- Tu sais quoi, Terebnor? C'est une chose que tu te prennes pour le roi du monde juste parce qu'on t'a nommé Chef, et c'est une autre chose de devoir te supporter toute la journée, chaque jour de ma vie, même si tu nous traites comme tes esclaves, alors que tu devrais nous traiter comme tes frères, tes soeurs! Mais que tu oses nous traîner dans la boue, après TA défaite, et que tu nous menaces de nous tuer... Ca, j'ai bien peur de ne pas l'accepter... Tu me décois VRAIMENT... Tu-tu sais quoi, je ne sais même plus quoi dire, les mots me manquent cruellement tellement je suis décue, tellement je suis triste! Brûle, Terebnor, va t'étouffer avec ta traînée de Seliana...

Solaris haletait, elle manquait de souffle, tellement elle avait mis d'énergie dans ses paroles. Elle fixait son interlocuteur, d'un regard rempli de dédein...

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[hj: Terebnor, en passant c'est pas Yahuda qui la part la clique mais moi]

(DJ:)

-Une équipe...? Tu recrutes, maintenant...? Cher ami, il y a quelque chose que tu ne me dis pas...

Le second assassin d'Irianeth vint rejoindre Solaris et Arès Océlus. Il prit directement la parole, sans laisser le temps au premier de donner des explications:

- Tu veux créer une équipe, assassin. Tu cherches les meilleurs à ce que je viens d'entendre. Tu as bien raison, je dois l'admettre. Il y a plusieurs incompétants qui ralentissent les exécutions, comme cette folle qui a rejoint les Chevaliers d'Émeraude. Mais je crois avoir un plan. Et si tu cherches les meilleurs, j'en fais partie!

Arès Océlus affirma:

Tu penses que je t'aurais laissé espionner notre conversation sans sourciller si je comptais point te prendre dans cette équipe? Eh bien, je ne suis pas débile, je sais que tu fais partie des meilleurs. Et puis, si je ne recrutais pas dans l'équipe, j'aurais eu l'obligeance de te tuer. N'es-tu pas réputé pour être le pire traître, assassin?

Solaris, l'air confus, accepta:

- Comptez-moi aussi...

Puis Terebnor, aussi misérable qu'il fut, s'ajouta à la conversation, se mêlant des choses d'autrui. Ah, homme malsain sans la moindre fierté! Indigne, déshonorant, ignomineux, infâme, abject, blasphématoire, innommable. C'est ainsi qu'Arès Océlus avait toujours vu cet immonde chef. Effectivement, l'assassin n'écoutait jamais les ordres car il était plutôt Chevalier en solo et il se préoccupait plus de sa réputation d'Assassin. Cet être ignoble ouvrit son affreuse bouche pour parler telle un ménestrel qui chante comme une brebis et dont les paroles pénètrent une oreille pour sortir de l'autre:

- Si vous voulez vous partir une petite clique, ou quoi que ce soit. Sachez que je veux pas vous voir sur Irianeht et n'y devant mon visage. Si vous êtes ici, s'est que vous vous battez pour l'empereur. Et quand l'empereur n'est pas là, s'est moi qui prend les commandes. Donc s'est soit que vous rester tranquillement ici à m'écouter, soit que vous quitter Irianeht et qu'on vous tue plus tards. Ou bien, vous restez ici et on vous tue.

Arès Océlus, l'Assassin défia cet être aussi épeurant qu'un agneau d'un regard presqu'inperceptible sous sa cape mais qu'on ne pouvait point manquer. Comme il adorerait égorger cet homme, s'il en était bien un. Ses innombrables armes le démangeaient. Il ne pouvait se laisser insulter ainsi!

Effectivement, Arès Océlus, était vêtu d'un habit noir. Ses pantalons noirs lui permettaient de faire tous les mouvements qu'il voulait sans l'encombrer. Son T-shirt aussi était noir et ses gants aussi. Il portait une armure munie de plusieurs fentes pour y placer des couteaux, des dagues et des poignards.

Il en avait donc placés deux poignards sur chaque bras, une dague sur son armure qui était par-dessus son abdomen, un couteau sur chaque botte. Sur sa taille, il y avait une épée double. Sur chacune de ses jambes aussi, il y avait une épée; mais une épée simple. Ce qui faisait dix armes. Pourtant, elles étaient légères et ajoutaient peu de poids sur lui.

Solaris hurla:

- Tu sais quoi, Terebnor? C'est une chose que tu te prennes pour le roi du monde juste parce qu'on t'a nommé Chef, et c'est une autre chose de devoir te supporter toute la journée, chaque jour de ma vie, même si tu nous traites comme tes esclaves, alors que tu devrais nous traiter comme tes frères, tes soeurs! Mais que tu oses nous traîner dans la boue, après TA défaite, et que tu nous menaces de nous tuer... Ca, j'ai bien peur de ne pas l'accepter... Tu me décois VRAIMENT... Tu-tu sais quoi, je ne sais même plus quoi dire, les mots me manquent cruellement tellement je suis décue, tellement je suis triste! Brûle, Terebnor, va t'étouffer avec ta traînée de Seliana...

- Mon cher Terebnor, tu devrais apprendre à comprendre. Tu oses parler mais tu es incertain de tes affirmations. Ou peut-être l'es-tu mais il s'agit d'une erreur grâve. Tu ne le savais peut-être pas, mais l'Empereur dont tu parles m'a nommé Assassin, ainsi qu'à Yahuda Sicarius Damian. Je suis, naturellement, un Chevalier Noir mais, mon premier rôle, confié par l'Empereur lui-même, est, avouons-le, plus important. Je me suis formé Assassin. Et comme tel, je suis mon propre Chef. Et, je ne suis pas sous ta charge puisque je participe aux batailles seul. Tu devrais te renseigner, avant d'affirmer des propos insignifiants. Yahuda Sicarius Damian et moi, ne faisons que vous accompagner et remplir le rôle de Chevalier d'Irianeth puisque l'Empereur nous l'a demandé. De plus, mon cher ignorant, sache que je ne voulais que créer une stratégie d'attaque avec quelques coéquipiers pour attaquer les Chevaliers d'Émeraude là où ça fait mal. Et je recrutais les meilleurs. Tu n'as aucun pouvoir sur Yahuda et moi, puisque nous sommes assassins. Ne te penses pas assez puissant pour avoir du pouvoir sur Solaris, elle est plus maligne que toi, car elle ne se pense pas supérieure à tout le monde. Si tu voyais plus loin que le bout de ton nez, tu l'apprendrais. Je suis certain que l'Empereur, s'il venait à apprendre ton comportement te ferait passer sous la guillotine sur le champ. Ne te mêles pas de ce qui ne te regardes pas, petit sot. Saches que je n'ai nulle peur de tes menaces.

Arès Océlus ne passait pas par quatre chemins. Quand quelque chose ou quelqu'un lui déplaisait, on le savait. De toutes façons, Arès Océlus agissait de même avec tout le monde qui essayait de le gouverner. Qu'ils apprennent à ne plus le faire.

- Nous sommes dans le même camp, Terebnor, ajouta-t-il.

Il se tourna vers Solaris et Yahuda:

- Vous savez où me trouver...

Et sur ce, il se dématérialisa et masqua son énergie pour ne pas se faire repérer.

(h-j : Ahhh j'aime sa de même. J'adore vos postes. Bref, je vous répond demain soir Smile

. )

J'avais suivi mon chef jusqu'à cet endroit où se trouvaient trois des Chevaliers Noirs. Deux de ceux-ci étaient des assassins professionnels, l'autre était Solaris. Ne comprenant pas tout de la situation, je décidai de rester de marbre devant les paroles de Terebnor. Ce fut de même lorsque Solaris cria des paroles qui pourtant firent naître plusieurs questions dans mon esprit. Je fronçai les sourcils. Lorsque Arès prit la parole, je bouillais de nouveau intérieurement.

Depuis ma tendre enfance j'avais vécue avec Terebnor qui n'était jamais très loin. Une fois promue Chevalier, lorsqu'il devint mon chef, je lui avais fait confiance. Je n'étais pas toujours en accord avec ses décisions, mais je me disais qu'il allait finir par nous mener à la victoire un jour ou l'autre. La seule raison pour laquelle j'aurais pu perdre toute confiance en lui aurait été qu'il soit amoureux, puisque ce sentiment exprimait pour moi la plus grande des faiblesses. Pire que d'exprimer sa douleur, pire que de pleurer.

Or, pour le moment, malgré les questions qui m'étaient venues à l'esprit à la suite des paroles de Solaris, je ne connaissais pas la nature des sentiments de Terebnor envers Séliana. Je restais donc fidèle à mon chef.

Durant tout l'échange j'avais garder la main sur mes armes, prête à les sortir au cas où les évènements seraient devenus plus violents. Pourtant, je n'avais pas bouger de l'endroit où je me trouvais. Que pouvait-il se passer maintenant?

Chevalier noir Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 10/05/2008

(EHHHH!!!! OU EST MON POSTE? J'AVAIS POSTÉ HIER À ONZE HEURES!!!!!! Roh là là! Je vais le réécrire!)

Yahuda écouta les paroles d'Arès Océlus et les accepta. Il savait bien qu'il était le pire traitre de l'univers. Il était donc officiellement un membre de l'équipe d'Arès Océlus. Puis, lorsque Solaris dit qu'elle était des leur, un petit sourire s'afficha sur son visage.

Mais, Terebnor arriva dans l'alvéole, chamboulant la discussion qui allait s'entamer. Yahuda allait dire son plan pour s'attaquer aux Chevaliers d'Émeraude mais il se ravisa lorsqu'il vit le chef des Chevaliers Noirs. Le sourire de l'Assassin s'effaca. Il dit, sur un ton des plus graves, sarcastiquement, avec un air un peu moqueur:

- Le Maître du monde fit son entrée! Ô personnage, impie, insolent, osera-t-il me défier?

Puis, il regarda Terebnor avec un air de défi. Puis, le chef des Chevaliers Noirs prit la parole mais Yahuda, qui, habituellement, écoutait Terebnor d'une seule oreille s'appuya contre le mur, comme les deux autres. Mais lorsqu'il entendit les menaces de Terebnor, il se redressa, plein de rage. Puis, il écouta les paroles de Solaris et de Arès Océlus. Ces deux-là en firent voir de toutes les couleurs à Terebnor. Lorsqu'ils eurent terminé et que Océlus se dématérialisa, Yahuda prit la parole:

- Sais-tu, Terebnor, tu es un vrai lâche! Tu as peur de nous alors tu nous fais des menaces. Mais je sais que tu n'oseras pas les mettre à exécution, idiot! Sait-tu à qui tu as affaire? Tu es seulement bon pour cracher des ordres mais arriverais-tu à passer à l'acte? Comme l'a dit Arès Océlus, l'Empereur lui même nous a nommer Assassin et il ne t'a pas fait l'honneur de ce titre. Comme tu le sais déjà, l'Empereur m'aime beaucoup. J'ai déjà fais tuer un Sorcier juste en parlant avec l'Empereur, pauvre minable! Tout le monde sait que les Assassins sont meilleurs au combat qu'un fou comme toi! Oui, tu es un fou! Un fou de nous faire des menaces pareilles sans en connaître les conséquences. Sincerrement, il faudrait que tu démissione de ton poste! Tout le monde, ici, est meilleur qu'un imbécil! Tu es indigne de ton poste, infâme! Saches que même si tu es le chef des Chevaliers d'Irianeth, je me préoccupe plus de mes chaussettes que de tes ordres! Tu es si indigne, infâme, odieux, ordurier, déplaisant, horrible, laid, répugnant et infect! Sait-tu pourquoi les Chevaliers d'Irianeth exécutent mal tes ordres? Non, n'est-ce pas? Je vais te dire pourquoi, alors! Ils les exécutent mal car on ne comprend rien lorsque tu parles! C'est le son d'une poule qu'on égorge qui nou parvient à l'oreille et non celle d'un stratège puissant. Avant même de connaître la cause de la petite équipe que voulait former Arès Océlus, tu nous a menacer. Mange-les, tes menaces! Avale-les! Et je te souhaite de te noyer dans tes mots! C'est toi qui n'a plus rien à faire sur ce continent qui mérite mieux qu'un misérable comme toi!

Il marqua une pause. Solaris et Arès Océlus avaient dit bien des choses au bon moment. Yahuda ne savait plus quoi dire. Puis, il avoua, comme Arès Océlus:

- Mais, nous somme dans le même camp, Terebnor!

Puis, il agrippa le bras de Solaris et se dématérialisa avec elle pour réapparaître, quelques secondes plus tard, à un autre endroit.

J'avais toujours ce sourire narquois, sarcastique. J'écoutait les paroles désolante de Solaris. Elle me rabaissait, elle m'injuriait, mais je savais que dans son ton de voix, il y avait un soupson de jalousie. Solaris avait dit tout se qu'elle avait sur le coeur et je la comprennais.

Puis mon regard se tourna vers Arès Océlus, le vrai créateur de la futur clique. Je m'étais tromper en croyant que c'était Yahuda Sicarius Damian qui avait commencer le tout. Bref, Arès en avait sur le coeur aussi. J'était détester, mais s'était normal et je m'en faisais pas. Puis Yahuda Sicarius Damian lui aussi disa tout se qui avait sur le coeur. Les Assassins étaient des êtres incomprenable, sombre et indépendant. Mais en me disant cette phrase la : Tu n'as aucun pouvoir sur Yahuda et moi, puisque nous sommes assassins

Je fais un point sur cette phrase et en globalement se que Arès ma dit à propos des assassins. Les assassins étaient des être qui se battaient loyalement seul. Comme Arès me la dit, ils sont chef d'eux autre même. J'allait dire quoi que ce soit, mais les trois ont disparut comme de la poussière. J'ai monter ma main jusqu'a mon menton pour le gratter lentement. J'était en pleine réflexion, puis j'ai tournée mon regard sur Kamentari.

- Bon, je vois. Les assassins sont des être qui sont chef d'eux même. Mais pourtant, ils veulent former une clique et il s'en preine à une de mes chevalières à moi. J'ai peu être pas d'autorité envers les deux assassins, mais si Yahuda Sicarius Damian et Arès Océlus prenne de l'autoriter envers Solaris, se qui est d'ailleur défendu puisqu'elle est sur mes ordres.

Un petit sourire m'apparut sur mes lèvres.

-Aller suis moi Kamentari, nous allons allez voir l'empereur pour lui signaler cette abu de pouvoir de la part des assassins, et toi tu seras la témointes. Si tu n'y vois pas d'inconvienant bien sur.

Ai-je dis en la regardant dans les yeux.

Peut-être était-ce la bataille perdue qui avait décider Solaris à se détacher? Peut-être était-ce aussi pour d'autres raisons dont je n'avais pas la connaissance.

J'aquiescai après que Terebnor eu terminé de parler, montrant que je voulais venir avec lui. Tout ce qu'avaient dit les deux assassins ne m'interessaient pas le moindrement. Cependant...il restait ces paroles de la Chevalier Noire qui me tracassaient et je décidai plutôt d'en avoir le coeur net.

"Mais...qu'est-ce que Solaris a voulu dire en parlant de Séliana?", demandais-je. Mon ton était moins froid qu'à l'habitude. Il était rare que je l'utilise, puisque je préférais toujours que les gens me voit comme ayant un coeur de pierre ou encore qu'ils croient à de fausses émotions que j'employaient régulièrement.

Voyant qu'il ne répondait pas, je fronçai les sourcils. Il n'était pas obliger de me répondre bien sûr, mais je n'aimais pas cela, vraiment pas, et il me semblait qu'il cachait des choses, des choses qui l'aurait rendu beaucoup moins bien à mes yeux.

"Hum...laisse tomber..."

Je finis par partir, quelque peu...soucieuse.

(HJ: Désolé du mini-post, mais comme tu réponds pas....)