Keiko s'étendit sur son lit et regarda le plafond. Elle était complètement vidée. Elle sortait, en effet, tout juste d'un de ses nombreux cours que sa tente, la déesse Thandréas, lui donnait. Heureusement pour Keì, elle avait réussit à matérialiser une pomme avant que la déesse du feu ne commence à s'énerver. Contente de ce maigre, mais néanmoins présent, progrès, elle lui avait enfin donné congé après trois interminables heures.
Elle commençait à s'ennuyer lorsqu'elle eu l'idée d'aller regarder, grâce à son miroir magique, ce que faisait ses chers chevaliers d'émeraude. Avec le temps, elle avait commencé à s'attacher à ses êtres humains. Il paraissait mener une vie si pleine d'action, d'amour et de joie qu'elle ne pouvait que les envier malgré elle.
En regardant à l'intérieur, Keìkö ne vit, cette fois, que guerre et infamie : elle sentit son cœur se contracter. Elle ne connaissait pas vraiment bien tous ses chevaliers, mais elle avait tout de même peur pour chacun d'entre eux. Elle qui ne pouvait mourir ; elle avait peur pour ceux qui arrêterait de vivre...
Elle décida donc d'aller jeter un coup d'œil sur terre dans le dut, même si elle ne savaiat pas très bien comment, de les aider.